[From Journal d'Agriculture, d'économie rurale et des manufactures du Royaume des Pays-bas, Bruxelles, September 1830, p. 280:] ... principales pépinières, tant de la Belgique que de la France ...Lancezeur, à Rennes....
[From The gardener's magazine and register of rural & domestic improvement, May 1843, p. 227:] Notes taken during a Twelve Days’ Tour in Brittany and Normandy, in July, 1842. By T. Rivers, Jun. .... Rennes, July 23. ...We visited the nursery of the Messieurs Lansezeur, and found the usual stock of a respectable French nursery, viz. oranges in pots, pomegranates, and other showy greenhouse plants, with rather a large stock of standard roses; but no new plants, either species or varieties, of any interest: but I ought to except a moss rose obtained here from seed, and named "Lansezeur.”
[From L'agriculteur praticien, July 1843, p. 292:] Les cultures de MM. Lancezeur à Rennes, nous ont offert des collections de Rosiers, de Rododendrons, de Dahlias, de Camellias, de Geranium, de Chrysanthemes, tout ce qu'il y a de plus nouveau, ainsi que des arbres fruitiers et d'agrément de toutes espèces.
[From Annuaire-Almanach du Commerce, de l'Industrie, etc. 1859, p. 1662:] Arondissement de Rennes...Horticulteurs et pépinièristes: Caillard. Guillot. Jacques. Lancezeur. Piel. [repeated in the Almanach for 1862, p. 1874]
[From wiki-rennes.fr] Il existait autrefois une précédente rue de la Quintaine, aujourd'hui appelée rue Général Maurice Guillaudot, et située en face de l'église Sainte-Melaine et à l'entrée de la rue Saint Melaine. Et le nom de cette rue y était justifié, puisque la quintaine de Saint-Melaine y existait. Le poteau de quintaine était situé dans l'ancienne ruelle de la Palestine, aujourd'hui rue du Thabor, face au terrain où se trouvait au XIXème siècle la prison départementale ou maison centrale de détention, à l'entrée de l'actuelle rue de La Borderie. Ce terrain était d'ailleurs auparavant le lieu de premier établissement du fameux jardinier rennais Lansezeur, qui a temporairement donné son nom à la rue Lesage située à proximité.
[From the website patrimoine.bzh/gertrude-diffusion/dossier/lotissement-hay-ferriere-rue-du-sapeur-michel-jouan-rue-denis-papin-rue-de-gaillon-rue-surcouf-rennes:] Les archives communales indiquent que le lotissement, réalisé sur les terres du manoir de Gaillon, par le comte Hay-Ferrière, est conçu en 1847 par l'architecte Jacques-Marie-Etienne Lecourant et présenté au conseil municipal pour obtenir la prise en charge de la construction et de l'entretien des voies par la ville. Dans ce premier projet, la vaste parcelle est divisée en six îlots par des voies orthogonales suivant un axe oblique par rapport au réseau existant. Une place carrée marque l'intersection de deux d'entre elles. Le promoteur précise cependant que la réalisation se heurte à l'opposition des frères Lancezeur, horticulteurs, qui louent des terrains, à l'angle de la rue des Trente et de la rue de la Sablonnière (actuelle rue d'Inkermann), depuis 1841.
