Philippe-Victor VERDIER (1803-1878) established his nursery by 1833, breeding roses, peonies and irises. In that year he inherited a collection of peonies from his uncle, M. Jacques, gardener to King Louis Philippe. He was succeeded in 1866 by his younger son Charles Verdier (1824-1902), who had already been in the business. In 1902, the firm of Vilmorin-Andriex inherited Verdier's iris, and presumably peonies too.
See also under Breeders.
[From Revue Horticole, October 1838, p. 142:] M. Victor Verdier vient de transporter ses cultures et la vente de ses rosiers, rue des Trois-Armes, boulaverd de la Garre, près du Jardin-des-Plantes. Un jardin beacoup plus vaste que celui qu'il occupait à Neuilly lui permet de donner encore plus d'extension à la multiplication de ce beau genre.
[From Annales de la Société Royale d'Horticulture de Paris, Vol. 25, July 1839, p. 51:] M.VERDIER , rué des Trois - Ormes, boulevard de la Gare , près la barrière d'Ivry , à Paris....M. Verdier .... a transporté son établissement de Neuilly-sur-Seine à Paris
[From Annales de la Société royale d'Horticulture de Paris, February 1846, p. 112:] ... l'établissement de M. Victor Verdier .... son jardin est situé rue des Trois-Ormes, près de la barrière d'Ivry, et sur le boulevard de la Gare. Cet horticulteur a commencé à prendre soin des Roses , il y a dix-neuf ans , à Neuilly-sur-Seine, lorsqu'il travaillait encore sous M. Jacques, son oncle, aujourd'hui jardinier en chef du parc du roi dans le même lieu. Ses cultures sont établies maintenant dans un peu plus de i hectare de terrain , dont le sol est une terre franche, légère et profonde, qui est très-favorable aux Rosiers. M. Verdier plante, tous les ans, douze à quinze mille Eglantiers pour greffer à haute tige les différentes variétés de Roses les plus recherchées des amateurs. Il fait en même temps huit à dix mille Rosiers francs de pied, qui sont le produit d'autant de boutures. Il greffe, en général, ses Eglantiers à oeil dormant ou à œil poussant, en faisant usage de l'arcure. ....On lui doit surtout d'avoir propagé et répandu dans le commerce les variétés que M. Souchet, de Bagnolet, avait obtenues de semis savant le mois de juillet 1842.....La collection de Roses de M. Verdier est une des plus nombreuses de celles que j'ai vues; elle se compose de 1.500 variétés dont il tient plus particulièrement 7 à 800 multipliées pour le commerce , tandis qu'il ne conserve de toutes les autres qu'un à deux pieds comme types. Les neuf dixièmes du terrain de cet horticulteur sont entièrement consacrés à la plantation des Rosiers; dans le reste, il cultive plusieurs autres plantes d'ornement, parmi lesquelles j'ai principalement remarqué une collection de Pivoines en arbres et de Pivoines herbacées, dont il possède à peu près toutes les variétés cultivées à Paris.
[From Bulletin de Travaux de la Société d'Horticulture de la Seine, 1852, p. 46:] VERDIER (Philippe-Victor), horticulteur, 5, rue des Trois-Ormes, boulevard de la Gare d'Ivry, (Seine).
[From Bulletin de Travaux de la Société d'Horticulture de la Seine, 1853, p. 46:] 1841 (Fondateur)—VERDIER (Philippe-Victor), horticulteur, 5, rue des Trois-Ormes, boulevard de la Gare d'Ivry, (Seine).