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Roses, Clematis and Peonies
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'Rosa X hemisphaerica' rose References
Website/Catalog  (1961)  Page(s) 22.  
 
ROSA LUTEA MAXIMA (Pimprenelle). Rameaux bronzés feuillage vert clair et luisant, grandes fleurs simples de coloris jaune.
Book  (1939)  Page(s) 59.  
 
Frank Mason,  NZ.  Species and Hybrids
Persian Yellow seems to me to belong to the same family, and is a double and free bloomer when well grown, but it must have good culture to get the best out of it. Lutea Maxima is another, but is not so free with its flowers as it should be.
Book  (1936)  Page(s) 138.  
 
The Double Sulphur Rose. (R. Hemispherica) . Large, deep golden yellow, cupped. Pedicel smooth and hip. Calyx smooth tips, often leafy. Leaves pale yellowish green and glaucous. Wood brown, numerous thorns, dilated at base and hooked and smaller straight ones. This remarkable variety was introduced to Western Europe by Clusius (see page 52), and at once attracted attention of gardeners. The difficulty of growing it successfully has been touched upon by writers since Parkinson's day. It is of vigorous growth, and we read of it doing well in the South of England and so far north as Edinburgh, where on a south wall it grew with 'a stem and branches as large as a Pear tree' and 'bushels of flowers' were gathered from it. In the Gardeners' Chronicle of 1841 a symposium was published from many sources, and it was reported as doing well on all wall exposures as well as in the open. The best soils were those of a light nature in most cases, but correspondents reported success on the cold clays of Northampton and Sussex. W. Paul, from his great experience, advises the production of a moderate growth, overgrowing being fatal to flower production. When flower buds are forming he advised 2 oz. of Guano to a gallon of rain water being given. After flowering remove overcrowding shoots to ripen those left, and prune very lightly in March; on weak shoots leave six buds, on strong ones nine. The great need of this Rose is shelter from rain, and thus a glass shelter such as is used on Peach walls seems to be desirable, or, better, a cool greenhouse. I give these notes from a writer who has had more experience than myself, but I have, through the kindness of Mr. Courtney Page, some young plants which I hope soon to get to the flowering stage.
Book  (1936)  Page(s) 349, 569, 685.  
 
p. 349: Hollande, Jaune de (lutea) ? ? ; yellow.
p. 349: Hollande, Jaune double de (lutea) ? ? ; vivid yellow, large, very double, susceptible while expanding = Double yellow pl.

p. 569: R. plena (lutea) ? ? ; straw-yellow = Double yellow plena.

p. 685: R,. sulphurea (Lutea or Pimpinellifolia) Hermann 1762; sulphur-yellow to light yellow, medium size, well double, solitary or up to 5, fragrance 4/10, once-blooming, growth 7/10, upright, bushy, 1,25 m. Anatalia, Armenia, Persia. = R. hemisphaerica ; Sulph. superba. Known already 1629. Sangerhausen
Website/Catalog  (1923)  Page(s) 53.  
 
Rosa lutea Sulphurea (Ait.). Single-bloomed light golden yellow. Syn. Rosa hemisphaerica (Hermann), R. Rapini (Boissier) and Rosa flava plena (Clusius, 16019.
Book  (1910)  Page(s) 23.  
 
R. sulphurea Salmon, in his English Herbal, 1710... has the following note on the double yellow Rose (R. sulphurea) which it would appear was as difficult to deal with then as now [advice on grafting and training this rose... ]
Magazine  (Sep 1907)  Page(s) 323-324, 327(photo).  Includes photo(s).
 
Parmi les plus belles collections de Rosiers qui existent en France, on peut citer celle que notre amie, Miss Wilmott, a réunie dans son jardin de Tresserve, près d’Aix-les-Bains. Les espèces sauvages, les types à fleurs simples y sont représentés en grand nombre ; quant aux variétés habituellement cultivées, elle a planté à peu près toutes celles qu'on connaît à l’heure actuelle.....Le 10 juin dernier, j’allais donc rendre visite à Miss Willmott.....
La Rose jaune de soufre. — Voici une espèce (?) qui serait une rude concurrente de la Rose jaune de Perse (Persian yellow des Anglais), si elle était un peu moins capricieuse. Mais, voilà, elle est capricieuse ! Elle épanouit ses fleurs quand cela lui plaît, et cela ne lui plaît pas toujours. Dans le fond, je crois qu’on ne sait pas la cultiver. J’ai remarqué, en effet, que beaucoup de plantes, superbes ici, étaient laides plus loin. Simple question d’adaptation au climat, au sol, et autres conditions météorologiques. Mais celle-ci semble dépasser les limites d’un caprice raisonnable. Elle n’a que très rarement rencontré un Alégatière pour se montrer dans toute sa splendeur. Variété d’une race encore plus « locale » que les races les plus locales. Race ou espèce dont on ne connaît pas le type sauvage à fleur simple. Peut-être n’est-elle qu’un hybride. Hybride de qui? Chi lo sa? Ni moi non plus. On la voit, du reste, rarement dans les jardins. Comme elle est très ancienne, les anabaptistes ne lui ont pas manqué. Son premier par rain, Charles de l’Ecluse, l’avait désignée
sous le nom R. flava pleno flore, Rose jaune à fleur pleine; Besler : R. lutea maxima fl. pleno, grande Rose jaune à fleur pleine. Hermann, qui se méfiait des couleurs, la nomma R. hemisphœrica, de la forme de son fruit ; Ehrhard, remarquant que ses feuilles étaient glauques, la baptisa R, glaucophylla. Puis, toute une pleïade de parrains : Aiton, Willdenow, Persoon, Smith, etc., voulant, sans doute, mettre d’accord Clusïus, Besler, Rai et Parkinson, qui disaient flava ou lutea (deux nuances de jaune), écrivirent sulphurea, c’est-à-dire jaune soufre.
Le sujet planté dans les cultures de miss Willmott, à Tresserve, est un buisson touffu qui atteint près de deux mètres de hauteur. Il était, le 10 juin, couvert d’une multitude de gros boutons prêts à s’épanouir.
La Rose en question est de celles qu’on ne saurait confondre avec aucune autre. Regarde-t-on ses feuilles, elles sont glauques; son « fruit » ou son tube est un hémisphère très développé; ses fleurs, très doubles, sont jaune pâle.
Voici ce que dit de ce Rosier, M. de Pronville dans sa traduction de la monographie de Lindley (1).
Cette plante est parmi celles du genre, une des plus riches en floraison. On ne l'a jamais vue simple ni disposée à le devenir. Sa patrie est encore inconnue. Les premières notions que nous ayons eues viennent de Clusius qui, le premier, la remarqua en examinant un petit jardin artificiel en papier, orné d'arbustes de différentes sortes, parmi lesquels se trouvait une Rose jaune double. Ce jardin artificiel avait été apporté de Constantinople, comme il le dit; et, par le moyen de ses nombreux correspondants, il se procura bientôt des individus vivants qui ont probablement donné naissance aux Rosiers que nous possédons aujourd’hui. Il faut que Linné ne l’ait point connue lorsqu'il a pensé qu’elle était une variété de son R. eglantina (lutea W.).
On éprouve toujours beaucoup de difficultés pour l'épanouissement de ses belles fleurs. S. Jos. Banks dit l’avoir vu dans le plus bel état de floraison dans un sol marécageux. Le bel échantillon qui a servi de modèle pour la figure qu’Edouard Sydenham a donnée dans le Register, venait du comté d’Oxford, et il était si parfait qu'une dame qui allait au spectacle, en ayant mis un bouton dans son sein, il s’y épanouit dans le cours de la la soirée.
J’ai observé sur la Rose jaune de soufre du jardin de Miss Willmott plusieurs fleurs prolifères, dans le genre de celles qu’on remarque souvent sur la Rose Souvenir de la Malmaison, quand après un mois d’avril un peu doux, surviennent des pluies et un abaissement de température qui contrarient l’épanouissement des fleurs. Cette prolifération est composée de plusieurs rudiments d’autres petites fleurs mal conformées.
La figure que nous donnons de cette Rose a été publiée en 1612 par Basile Besler dans l'Hortus Eystetlensis (2). On reconnaît la plante à la forme du bouton situé au-dessus des deux fleurs épanouies.

(1) Monographie du genre rosier, etc. Paris 1824.
(2) Basile Besler, pharmacien allemand, né à Nuremberg en 1561, mort en 1629. fut le directeur du jardin de Saint-Willebald, dont la direction lui fut donnée par Jean Conrad de Gemmingen, évêque d’Eyschstaed.
Les figures des plantes de l'Hortus Eystettensis ( jardin d’Eyschtaed) qu’il publia en 1612, sont, paraît-il, de Jungermann, célèbre médecin allemand, professeur de botanique à l’Université d’Altdorf, né à Leipsig, en 1572, mort en 1653.
Book  (1899)  Page(s) 84.  
 
Jaune double de Hollande, lutea, jaune paille, syn. double yellow plena [this synonymity may be a confusion with the hybrid foetida, as the class lutea was also used for sulphurea]
Magazine  (1895)  Page(s) 138.  
 
[In a description by M. Cochet-Cochet of roses presented in Paris at a special exposition] R. suphurea Ait., 1789. Syn. R. hemispherica Herm. Native habitat: Asia Minor. Armenia. Persia? Note: The plant presented is the spontaneous form of R. sulphurea with simple [ed. single] flowers that was discovered in Galatie by Mister Tchihatcheff in 1849 and described by Boissier under the name of R. Rapini.
Book  (1888)  Page(s) 29.  
 
The Sulphur-Rose, yellow Centifolia, sulphur-yellow double Rose (R. sulphurea Ait., R. hemispherica, Herm., R. glaucophylla, Ehrh., R. lutea, Brot., R. lutea flore pleno, Ray.)
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