Rose Author, Breeder and Discoverer  

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68, rue du Champ-des-Oiseaux
Boisguillaume
Rouen, Haute-normandie 76000
France

Nicolas-Joseph Prevost (September 27, 1787 Rouen, Seine maritime- September 24, 1855 Boisguillaume, Seine maritime). Professor of botany, nurseryman, author, rose breeder. A precursor of his 1829 Catalogue descriptif was issued in 1824 as "Catalogue des espèces, variétés et sousvariété du genre Rosier cultivés chez Prévost fils à Rouen."

[From Rosetum Gallicum, by Narcisse Desportes, 1828, p. 124:] PRÉVOST fils, rue du Champ-des-Oiseaux, n.o 68, à Rouen (Seine-Inférieure).

[From Journal de la Société d'Agronomie Pratique, January 1829, p. 30:]  PREVOST fils, membre de la société d'agriculture du département de la Seine-Inférieure, rue du Champ-des-Oiseaux, no 68, à Rouen.

[From Catalogue descriptif, methodique et raisonné, by Nicolas-Joseph Prevost, 1829, p. xii:]...The roses whose origine is indicated as Boisguillaume [a location near Rouen] are my [Prevost's] seedlings.

[From The Gardener's magazine 1829, p. 372:] The Nursery of Prevost fils is the finest in Rouen. M. Prevost, whose father was proprietor of the same grounds, has had a regular college education, is a scientific botanist....we are not aware, that there is any nurseryman who, as a cultivated man, can be compared with him in England, with the exception of George Loddiges, and we only know of M. Vilmorin in France.

[From Revue Horticole, July 1832, p. 82:] M. Prevost fils, fleuriste, au Palais Royal, Galerie de Chartres, nos. 13 et 14, et Grande-Rue, no. 23, aux Près-Saint-Gervais.

[From Le Bon Jardinier, 1833, p. 858:] Prevost fils, rue du Champ-des-Oiseaux, no. 68, à Rouen (Seine-Inférieure).

[From Manuel complét pur l'amateur des roses, by Pierre Boitard, 1836, p. 49:] M. Prévost fils, publié à Rouen, en 1829, sous le titre de Catalogue descriptif méthodique et raisonné des espèces, variétés et sous-variétés du genre rosier. Ce livre, à notre avis, est le meilleur que nous connaissons sur les variétés, ou espèces jardinières, et c'est pour cette raison que nous allons ici le soumettre à la critique. M. Prévost connaît parfaitement les roses qu'il a décrites, au nombre de cinquante-quatre espèces et de huit cent quatre-vingt variétés, et ses descriptions sont fort bien faites. Cependant, M. Prévost n'est ni botaniste, ni écrivain, et l'on en trouve la preuve dans plusieurs endroits de son ouvrage. Par exemple, ce cultivateur pour indiquer qu'une corolle est semi-double, double, ou pleine, dit qu'elle est multiple, très multiple, pleine, très pleiné, et il croit que ces expressions ont un sens plus positif que les autres. M. Prévost ne montre guère de logique en remplaçant des mots dont l'usage et le tems ont fixé la signification, par des mots tout aussi obscurs, d'un sens tout aussi indéterminé. Il y a plus, c'est que l'expression très pleine ne peut rien signifier du tout, car une chose pleine ne pouvant plus rien contenir ne peut devenir très pleine. Quand un écrivain a une réputation assez grande pour se permettre de toucher à une langue établie, c'est pour y faire des changemens utiles. Nous ferons encore une petite observation à M. Prévost, parce que nous pensons qu'elle peut être utile à un homme qui a du mérite, et qui peut, avec du travail, prendre par la suite rang parmi les écrivains qui destinent leur plume à des travaux utiles.

[From Statistique horticole de Maine-et-Loire, 1842, p. 12:] Prévost, hort. à Rouen.

[From La rose: son histoire, sa culture, sa poésie, by Jean Loiseleur-Deslongchamps, 1844, p. 313:] Prevost, fils, à Bois-Guillaume près de Rouen

[From The Rose Garden, by William Paul, p. 25:] In 1829, M. Desportes and M. Prévost each published in France a catalogue of Roses. In the catalogue of the former cultivator above 2000 varieties are described.

[From Annales de la Société Centrale d'Horticulture, 1851, p. 262:] ...M. N.J. Prevost, distinguished nurseryman, at Bois-Guillaume, near Rouen, who succeeded his father, also nurseryman, forty years ago....When the Société d'hortculture de Rouen was founded in 1836 M. Prevost was named one of the first....

[From L'Horticulteur français, November 1, 1855, p. 262ff.:] M. Nicolas-Joseph Prévost, borticulteur pépiniériste, à Rouen, est mort le 24 septembre, au Bois-Guillaume.

[From Journal de la Société impériale et centrale d'horticulture, January 1856, p. 100-104:] NOTICE NÉCROLOGIQUE SUR M. PREVOST, PRÉSIDENT DU CERCLE PRATIQUE D'HORTICULTURE ET DE BOTANIQUE DE LA SEINE-INFÉRIEURE ...Nicolas-Joseph Prévost naquit à Rouen le 27 septembre 1787. Son père, entrepreneur de jardins, acquit, peu après, dans une commune voisine, au Boisguillaume, un terrain où il établit une pépinière. C'est là que le jeune Prévost fut élevé.....En 1 81 1 , son père lui abandonna les soins de sa pépinière. M. Prévost donna, dès lors, beaucoup d'extension à cet établissement...Déjà, en 1824, M. Prévost avait été admis dans le sein de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen. Plus tard il contribua à fonder la Société centrale d'Horticulture de la SeineInférieure, dont il.fut longtemps le vice-président. Enfin il présida jusqu'à sa mort le cercle pratique d'horticulture et de botanique créé à Rouen en 1844

[From The Graham Stuart Thomas Rose Book, by Graham Stuart Thomas, 1994, p. 10:] Prévost, Pépiniériste à Rouen, Catalogue descriptif, méthodique et raisonné des espèces, variétés et sous-variétés du genre rosier: his list embraces 880 names.

[From The Old Rose Adventurer, by Brent Dickerson, 1999, p. 42:]
Prévost appears to have first gotten involved with roses ca. 1811.

[From Catalogue des Rosiers cultivés au Jardin du Luxembourg, by Vincent Derkenne, 2012, p. 81-82:] Nicolas-Joseph Prévost (1787-1855), dit Prévost fils, professeur d'horticulture et de botanique à Rouen, vice-président fondateur de la Société d'horticulture de Seine-Inférieure, puis président du Cercle pratique d'horticulture du même département, pépiniériste renommé, obtenteur, installé au 68, rue du Champ-des-Oiseaux, à Bois-Guillaume près de Rouen. Il publia le catalogue de ses productions de rosiers en 1829; supplément en 1830, Nicétas Périaux jeune, Rouen. Il y décrit les 1400 rosiers qu'il cultive. Écrit par un botaniste, ce catalogue reste une référence de nos jours.