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'Rosa moschata var. abysinnica Crépin' rose References
Article (magazine) (1 Jun 2015) Page(s) 285. The only sub-Saharan species of the genus Rosa, R. abyssinica, is resolved by chloroplast data as embedded in the Cinnamomeae clade but clearly shows the synstyly consistent with R. sect. Synstylae. The nuclear GAPDH sequences resolve this species as closely related to R. gallica (R. sect. Rosa) and European species of R. sect. Synstylae, suggesting a hybrid origin.
Article (website) (Nov 2002) ... L'une des hypothèses implicites de cet article, à savoir que Rosa abyssinica aurait pu apporter leur caractère remontant aux roses de Damas des Quatre saisons (R. x damascena var. semperflorens) a été récemment remise en question par les analyses du généticien japonais Hikaru Iwata qui a mis en évidence la présence de l'espèce remontante Rosa fedtschenkoana dans leur parenté. Vu la présence en abondance de R. abyssinica dans le sud-ouest de la Péninsule arabique, où les roses sont cultivées en abondance depuis des temps anciens, il demeure néanmoins très intéressant de rechercher activement ses gènes dans les variétés anciennes de roses cultivées du Proche-Orient.... au moins une alternative pouvait être proposée à l'hypothèse d'une origine hybride. Ce phénomène pouvait résulter d'une adaptation de R. moschata au climat de sa région d'origine (celle-ci n'ayant pas encore été déterminée de manière décisive). Mon attention fut attirée par Krüssmann ....vers ce qu'il nommait R. moschata var. abyssinica, qui fleurissait deux fois dans l'année, ce qui me fit penser que l'origine de R. moschata se trouvait peut-être en Éthiopie (autrefois Abyssinie), sous un climat fort différent du nôtre. .... R. abyssinica croît en Éthiopie, en Érythrée, et comme nous l'avons vu au Yémen (nord) mais elle est aussi commune au sud-ouest de l'Arabie Saoudite (jusqu'au nord de la Mecque), et on la trouve occasionnellement dans l'extrême nord de la Somalie et l'extrême est du Soudan, en contact avec l'Érythrée. Cette aire de distribution, la plus méridionale qui soit pour une rose sauvage, est isolée de 800 km environ du reste de l'aire du genre Rosa (5), qui est lié aux régions tempérées de l'hémisphère nord. Ce phénomène peut être comparé à l'isolement de R. leschenaultiana (Thory) Wight & Arn. dans les montagnes du sud de l'Inde. Sous les latitudes auxquelles elle croît, R. abyssinica est également confinée à des zones d'altitude. C'est en Arabie Saoudite qu'elle descend (exceptionnellement) le plus bas (800 à 900 m), tandis qu'elle est signalée jusqu'à 3300 m (4000 m d'après Schweinfürth) en Éthiopie.....
Article (website) (Nov 2002) Rosa abyssinica R. Br. ex Lindl. - Arbuste (peu drageonnant?) à tiges non ou à peine flexueuses, parfois bas (± 50 cm) mais le plus souvent sarmenteux, se comportant en milieu ouvert à la manière de R. canina L. en Europe (port en dôme haut de 2, 3 m, tiges à départ dressé, arquées ensuite,et à extrémités ± retombantes), mais pouvant s'élever à plus de 10 m dans la végétation environnante (en milieu semi-ombragé). Parfois décrit comme un petit arbre au tronc épais (conséquence d'un broutage occasionnel ou périodique?).... - Aiguillons le plus souvent nombreux, rougeâtres à jaune paille, inégaux, droits ou le plus souvent arqués, parfois crochus, souvent plus forts et en petits groupes juste sous les inflorescences. - Feuillage ± coriace, à l'aspect de feuillage persistant, mais parfois caduc (en fonction de conditions climatiques irrégulières ou exceptionnelles?) - Folioles le plus souvent par 5 à 7 (parfois 9, rarement 3, et dans ce dernier cas uniquement sur les tiges florifères), d'un vert moyen à sombre, satinées ou luisantes en dessus, d'un vert plus clair, parfois glauque et satinées ou mates en dessous, généralement pétiolulées (1 à 2 mm), elliptiques (ou ovales, en particulier la terminale), voire obovales (sur les jeunes rameaux secondaires, par exemple), le plus souvent deux fois plus longues que larges souvent plus élargies chez les formes à petites folioles ou plus allongées chez les formes à grandes folioles), la terminale légèrement plus grande, les autres de taille légèrement dégressive en direction de la base, le plus souvent longues de 20 à 30 mm [mais pouvant atteindre (6)-10 mm à 60-(70) mm selon les formes], à base arrondie ou en coin et extrémité parfois légèrement acuminée (surtout chez la terminale), glabres, ou parfois pubescentes ou glanduleuses en dessous, sur les nervures principales.... - Inflorescences cymeuses (voir fig. 4), le plus souvent de 3 à 10-(15) fleurs (la fleur centrale et basale de l'inflorescence terminant l'axe principal et fleurissant en premier lieu, suivie des fleurs centrales des inflorescences secondaires), parfois réduites à une ou deux fleurs, légèrement asymétriques (les axes secondaires pouvant être de vigueurs inégales, porter des quantités inégales de fleurs, être aiguillonnés ou non et épanouir leurs inflorescences avec un léger décalage dans le temps), rendues très compactes.... - Pétales longs de 10 à 25 mm, larges de 8 à 20 mm, blanc à jaune crème, légèrement émarginés. - Fleurs parfumées (peut-être par les filets des étamines plutôt que par les pétales, comme c'est généralement le cas chez les Synstylae), d'une dimension non en relation de manière absolue avec celle des folioles ou à la longueur des pédicelles (on peut par exemple trouver des fleurs petites, portées par de longs pédicelles chez des formes à grandes folioles.)....
Magazine (2000) Page(s) 12. Vol 94, Part 1. Includes photo(s). Michael Hayward describes Arabia's wild rose, the world's southernmost species. Rosa Abyssinica.....
Book (1996) Page(s) 21. [in the Listing for 'Quatre Saisons' which is] thought to be a cross between R. gallica and R. moschata (though in place of the last named, R. abyssinica has recently been suggested by Ivan Louette of Belgium as more likely, because... it repeats...)
Book (1984) Page(s) 123. Rosa moschata ‘Abyssinica’/Rosa moschata var abyssinica (Lindl.) Rehd. = Section des Synstylae – Rosa moschata. Introduit de l’Ethiopie en 1807, mais doit exister également en Chine. Hauteur 3 à 4m. Se distingue du type d’espèce par un feuillage grisâtre et une très bonne rusticité.
Book (1981) Page(s) 15. R. moschata var. abyssinica (=R. abyssinica Lindl.) is the only wild rose of its country; it is distinguished from R. moschata proper by its much weaker growth and the fact that it is much more prickly. The descriptions in various reference books are decidely contradictory. G.S. Thomas tells us that the rose originated in Syria (where it is, however, unknown today) in the 4th century. It is exceptionally winter-hardy and can be successfully established in hilly areas up to and above 2,275 m./7,500 ft.; it is of a climbing habit, mostly rambling through large bushes or the smaller trees; the flowers are white, 7-10 cm./2.75-4 in. across, recurrent, flowering in April-May and again in September-October. In Ethiopian nurseries this rose has been used successfully as an understock.
Book (1912) Page(s) 170. Plant names from Yemen and South Arabia.... Rosa abyssinica R. Br. ... 'arschaq (H.) hhege, hhaga (W. H.) hhómmess (U.) qarauan (M.) [H= Hille (at the foot of Gebel Bura)] [W= Uollége (at the foot of Gebel Melhan] [U= 'Ussil] [M= Menacha]
Book (19 Oct 1911) Page(s) Vol. 1, Part II, p. 41. 12 — ROSA MOSCHATA, var. ABYSSINICA Rehder Rosa moschata, var. abyssinica: a typo recedit habitu compacto ; aculeis magis confertis ; foliolis parvis, rigidulis ; rhachi magis glandulosa ; floribus paucioribus, minoribus ; sepalis simplicibus. R. moschata, var. abyssinica Rehder in Bailey, Cycl. Am. Hort. vol. iv. p. 1550 (1902). R. abyssinica R. Brown in Salt, Abyss. App. p. lxiv (1814). — Lindley, Ros. Monogr. p. 1 16, t. 13 (1820). — Seringe in De Candolle, Prodr. vol. ii. p. 598 (1825). — A. Richard, FI. Abyss. vol. i. p. 261 (1847). — Olivet,. FI. Trop. Afric. vol. ii. p. 381 (1871). — Déséglise in Bull. Soc. Bot. Belg. vol. xv. p. 206 (Cat. Rais. Ros. p. 37 [1877]) (1876). — Crépin in Bull. Soc. Bot. Belg. vol. xviii. p. 29 (Primit. Monogr. Ros. fasc. v. p. 537 [1880]) (1879). R. Schimperiana Hochstetter in Flora , xxiv. Intell. 31 (1841).
Stems not sarmentose ; prickles small, slightly hooked, more crowded than in the type. Leaflets firmer in texture, oblong, acute, ½-¾ in. long, scarcely at all hairy, but minutely aciculate on the midrib beneath ; petioles glandular and aciculate, not pubescent. Flowers few, in a corymb ; pedicels pubescent, not aciculate. Calyx-tube turbinate ; lobes ovate-acuminate, simple, 1/3-½ in. long, pubescent on the back.
This variety is allied to the Persian variety nasturana Christ. In its extreme form it has not much resemblance to Rosa moschata Mill., but is really connected with it by forms found at lower altitudes and in less arid situations. It inhabits the mountains of Abyssinia at heights of from 6,000 to 7,000 feet above sea-level. It was formerly supposed to be exclusively African, but it was found at Yemen in Arabia in 1837 by Botta and by other botanists in various localities in Asia, though always in the same latitude as Abyssinia. It was originally found by Salt during his travels in Abyssinia in 1809-11, and was first recognized as a distinct species by Brown, who wrote a botanical appendix to Salt’s travels. Lindley’s description is very incomplete. Crépin attributed this to the dearth of specimens at his disposal when drawing up his description. Crépin, on the contrary, had ample material on which to base his conclusions. Oliver gives a good and careful description ; he was inclined to think it might not be specifically distinct from some extra-African form. With Rosa sempervirens L. it has some superficial resemblance, but little in essential characters.
Article (magazine) (1897) Page(s) 131. [Rosa moschata] β. var. abyssinica R. Br. Épiderraes à cellules moyennes, le supérieur dune épaisseur de 30 μ, l'inférieur de 16 μ. Stomates d'une longueur maximum de 36 μ, plus grands que les cellules environnantes. Cellules du parenchyme spongieux aussi petites que celles de l'espèce type. Cellules médullaires du pédoncule floral grandes.
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