'stans' clematis References
Book (Oct 2001) Page(s) 357. Includes photo(s).
Book (1965) Page(s) 441. 3. Clematis stans Sieb. & Zucc. C. kousabotan Decne.; C. lavallei Decne. and var. foliosa Decne.; C. savatieri Decne.; C. heracleifolia var. stans (Sieb. & Zucc.) O. Kuntze - Kusa-botan. Erect dioecious short-pubescent herb often woody at the base; stems 50-100 cm. long, sometimes branched; leaves pedolate, ternate, the leaflets thick-chartaceous, ovate to depressed-orbicular, 5-10 cm. long, 4-10 cm. wide, often 2- to 3-cleft, short-acuminate, with coarse deltoid teeth, the lateral leaflets subsessile; cymes axillary, often forming a large terminal panicle, the pedicels short white-tomentose; flowers 15-20 mm. long, narrowly campanulate, nodding, pale purple-blue, short white-tomentose outside; sepals recurved on upper half, lanceolate; stamens of staminate flowers 10-12 mm. long, the anthers linear, 4-5 mm. long, as long as to slightly shorter than die loosely pubescent filaments; achenes elliptic, about 3.5 mm. long, with short ascending hairs; style about 2 cm. long in fruit. - Aug.-Oct. Sunny places in mountains; Honshu.
Magazine (May 1919) Page(s) 66. Clematis Stans. — Espèce voisine de la précédente avec laquelle de nombreux croisements ont donné naissance à des variétés, parmi lesquelles on peut trouver un grand choix de nuances en bleu, mauve, lilas ou violet. ....F. Morel
Magazine (1 Apr 1885) Page(s) tab 6810. Includes photo(s). Clematis stans. Native of Japan. Nat. Ord. Ranunculaceae. — Tribe Clematideae. Genus Clematis, Linn. ; (Benth. et Hook.f. Gen. Pl. vol. i. p. 3.)
CLEMATIS stans; berbacea, molliter pubescens, caulibus sulcatis et angulatis strictis erectis, foliis 3-foliolatis, foliolis amplis oblique ovato-rotundatis acutis grosse dentatis v. sublobatis rugosis superioribus angustioribus, floribus subverticillatim confertis pendulis opalinis, verticillis in paniculum contractam terminalem dispositis, sepalis linearibus acuminatis extus sericeo-velutinis apicibus recurvis, antheris linearibus filamento subsequilongis. C. stans, Sieb. and Zucc. Fl. Jap. Fam. Nat. i. 69; Franchet and Savat, En. PI. Jap. vol. i. p. 2 ; Regel, Gartenfl. t. 357. C. Kousabotan, Dcne, in Nouv. Archiv. du Mus. Ser. ii. vol. iv. p. 208, t. 13.
Under C. tubulosa, var. Hookeri (Tab. 6801), I announced the forthcoming of a plate of G. dans, expressing at the same time my hope that the history of the group of Travellers'-joys to which it belongs, might, before its publication, be cleared up by Messrs. Forbes and Hemsley in their forthcoming census of the plants of China. These botanists now inform me that they follow Maximovicz in considering all the so-called species of this group (C. tubulosa, Turcz (Tab. 4269), Davidiana, Dcne., Hookeri, Dcne. (Tab. 6801), C. stans, S. and Z., C. Kousabotan, Dcne., C. Lavallei, Dcne., and C. Savatieri, Dcne.) as varieties of one, and that one the old C. heracleaefolia, DC. (Syst. PI. i. 158 ; Prodr. i. 3), a native of China, and of which, therefore, many forms are now known to occur in Japan. Whilst quite ready to subscribe to this opinion of regarding C. heracleaefolia as an aggregate species, I may point out that it seems to me to present five principal types, three of which are characteristically figured in this work, namely, 1. The Chinese C. tubulosa, Turcz (Davidiana, Dcne.) ; erect, with axillary broad deep blue flowers, the sepals of which are revolute from far below the middle, exposing the anthers. 2. The C. tubulosa, var. Hookeri (C. tubulosa, and C. Hookeri, Dcne.) ; erect, with long blue chiefly axillary flowers and perianth-lobes revolute from far above the middle. 3. C. stans, S. and Z. (C. stans, and Kousabotan, Dcne.); erect, with terminal racemes of much smaller paler blue flowers in whorl-like fascicles — this closely resembles a drawing of the original specimen of C. heracleaefolia in the British Museum, made by Mr. Forbes and shown me by Mr. Hemsley. 4. C. Lavallei, Dcne. ; erect, with flowers in loose spreading terminal almost leafless panicles, hardly at all whorled. 5. C. Savatieri, Dcne. ; climbing, with much stouter stems, peduncles and pedicels, and panicled flowers not in whorls, Referring to the Herbarium, I think that these types are recognizable, but united by varieties that render it impossible to regard them as distinct species. Our figure of C. stans is taken from a plant so named by M. Decaisne, and sent to Kew by the late lamented Mr. Lavallee ; it flowered in the end of September in the open border. — J. D. H.
Fig. 1, Vertical section of flower; 2, stamens; 3, pistil; 4, single carpel:— all enlarged.
Magazine (1 Feb 1885) Page(s) tab 6801. C. tubulosa var. hookeri...
There is another branch of this group of the tubulose Clematises which inhabits China and Japan, and of which C. stans, Sieb. and Zucc, is the type; these have smaller more crowded flowers of an opaline colour rather than lilac, and usually more acuminate sepals. C. stans has flowered at Kew, and will shortly be figured ; by which time I hope that the genus will have been revised by Messrs. Forbes and Hemsley for a census of the plants of China which is in preparation at Kew.
Magazine (1883) Page(s) 286-287. Clematis Savatieri, DCNE. C. frutex sarmentosus, monoicus, 3-metralis et ultra; caulibus striatis inferne lignosis; foliis trilobis aut trisectis, lobis cordatis, lobo terminali longe, lateralibus autem breviter petiolulatis, crenatis v. grosse dentatis, obsolete lobulatis, acuminatis, supra glabriusculis, subtus villosis; floribus parvis, opalinis, cymoso-paniculatis, panicula foliis breviore; sepalis lineari-acuminatis, acumine crassiusculo, arcuato-reflexis, extrorsum incano-velutinis, introrsum glabris, trinerviis; staminibus numerosis, antheris obtusiusculis; ovariis ima basi glabris, atroviolaceis; stigmate linearioblongo; fructibus... Clematis stans, FRANCH., Enum., p. 2.
Le Muséum a recu cette plante de M. Franchet, en 1877, sous le nom de Clematis stans, bien qu'elle soit franchement sarmenteuse et monoïque. Ses tiges, ligneuses à la base, sont striées, couvertes d'un duvet extrêmement court et grisâtre, fortement renflées à l'insertion des feuilles. Ces dernières, trilobées, longuement pétiolées et assez épaisses, sont arrondies et généralement trilobulées; le lobe terminal, plus large que les inférieurs, muni de nervures basiliaires au nombre de 3 ou de 5, est porté sur un long pétiolule canaliculé en dessus; les lobes latéraux, ovales-acuminés, bordés de grosses dents mucronulées, sont munis de courts pétiolules ordinairement teintés en violet. Les fleurs, blanches ou légèrement opalines et un peu odorantes, sont disposées en petites cymes paniculées, plus courtes que les feuilles et portées sur des pédicelles arqués à l'époque de la floraison, un peu renflés au sommet et redressés après l'anthèse. Les sépales linéaires, un peu dilatés et crépus au sommet, recourbés et enroulés en dessous, sont incanesveloutés en dehors, très-glabres contraire en dedans. Les étamines, nombreuses (24), sont munies de filets linéaires glabres, et d'anthères linéaires légèrement apiculées ou obtuses. Les ovaires, très-glabres, de couleur rouge foncé à la base, sont soyeux dans leur partie supérieure qui se confond avec le style velu dans toute sa longueur. Le stigmate est linéaire, oblong et blanc. La floraison tardive de cette espèce, qui a lieu en octobre et novembre, ne permet pas au fruit de se développer et de mûrir sous le climat de Paris.
Magazine (1883) Page(s) 284-286. Clematis Lavallei, DCNE. C. suaveolens, monoica, 2-metralis; ramis patulis, striatis, pube intactili incano-cinereis, inferne foliosis, superne denudatis; foliis trilobis glabratis, lobo terminali late ovato-orbiculari grosse dentato v. inciso v. lobulato | incisés dentés ou lobulés, sont presque basi obsolete cuneato, supra glabro, subtus ad nervos piloso, lobis lateralibus subsessilibus late ovatis acuminatis subobliquis inciso-dentatis, dentibus mucronatis subcoriaceis; inflorescentia laxe paniculata; pedunculis pedicel lisque pube intactili incano-cinereis, bracteis minimis linearibus integris v. dentatis stipatis, reflexis; floribus opalinis; sepalis apice recurvis; staminum filamentis pilosis; antheris apiculatis; ovariis ovatis, glabris, pilorum fasciculis basi ornatis; stigmaté lineari-oblongo.
Le Clematis Lavallei est une forte plante de deux mètres de hauteur, dont les rameaux sont terminés par une grande inflorescence dépourvue de feuilles; ces tiges et ces rameaux sont couverts d'une sorte de poussière d'un blanc grisâtre, formé par un duvet extrêmement court, Ses feuilles trilobées, un peu coriaces, sont portées sur des pétioles de 7 à 8 centimètres de longueur, dont le lobe terminal est largement ovale ou orbiculaire, incisédenté ou lobulé, à dents munies d'un petit mucron coriace; les lobes latéraux ovales, incisés-dentés ou lobulés, sont presque sessiles; leurs nervures, au nombre de 3 ou de 5, saillantes et poilues en dessous, partent de la base pour se perdre vers le sommet du limbe. Les rameaux floriferes terminent la tige en formant une sorte de grande inflorescence de 60 centimètres de longueur en partant de la dernière paire de feuilles caulinaires; les rameaux secondaires ou tertiaires sont accompagnés, à leur naissance, de petites feuilles bractéales linéaires, lancéolées, entières ou dentées. Ces ramuscules portent de petites cymes triflores, à pédicelles réfléchis, dont la fleur médiane est femelle et les deux latérales mâles. Les fleurs, de couleur opaline et odorantes, mesurent environ deux centimètres; les sépales, au nombre de quatre, linéaires, fortement recourbés au sommet, sont veloutés, blanchâtres en dehors, très-glabres en dedans. Les étamines se composent d'un filet linéaire, poilu au sommet, terminé par une anthère linéaire, apiculée. Les ovaires, ovoïdes, glabres, sont néanmoins accompagnés à la base de petits poils blancs; le style, plumeux dans toute sa longueur, se termine par un stigmate linéaire-oblong, de couleur blanche. Le fruit ovoïde, parsemé de quelques poils dressés, se termine en un style glabre dans son quart inférieur, plumeux dans le reste de son étendue et d'environ trois centimètres de longueur. La plante fleurit en octobre.
Magazine (1883) Page(s) 283-284. Clematis stans, S. et Z., Fl.jap.,fam. nat., sect., 1, 69; DCNE., Fl. des Serres, XXII, p. 162. Le C. stans, comme son nomme l'indique, se reconnaît a premiere vue à ses tiges strictement dressées, hautes de deux mètres environ, anguleuses, de la grosseur d'une forte plume de cygne, pubescentes, d'un vert pâle et ligneuses à la base; ses feuilles trilobées, portées sur d'assez longs pétioles, sont minces et pubescentes; le lobe terminal, subcordiforme ou arrondi à la base, plus ou moins acuminé au sommet, 3-ou 5-lobulé,est pourvu de trois nervures basilaires. Leur contour est fortement et irrégulièrement incisé-denté, à dents aiguës mucronulées; les caulinaires sont oblongues ou lancéolées, inéquilatérales, cunéiformes ou atténuées à la base, lobulées ou fortement et irrégulièrement dentées, glabrescentes et trinerviées comme les inférieures. Les pédoncules floraux, qui apparaissent au sommet des tiges à l'aisselle des feuilles caulinaires, sont nus dans presque toute leur étendue et ne portent des fleurs qu'au sommet, où elles sont groupées en fascicules ombelliformes et accompagnées de bractéoles herbacées lancéolées. Les fleurs, petites comparativement à celles des Cl. Hookeri, tubulosa et Davidiana, de même grandeur et de même nuance dans les deux sexes, sont composées de sépales linéaires, élargis et crispés au sommet, veloutés ou incanes en dehors, très-glabres et de couleur lilas en dedans, révolutés après l'anthèse. Les étamines des fleurs mâles, au nombre de 12 à 16, sont munies de filets linéaires, velus au sommet et d'anthères linéaires assez longuement apiculées; les pistils sont réduits à de petits mamelons; les étamines des fleurs femelles sont ordinairement de simples filets velus que surmonte une anthère subulée et réduite pour ainsi dire au connectif. Les ovaires, ovoïdes, olivâtres, luisants, glabres, s'atténuent en un style velu terminé par un stigmate linéaire papilleux et blanc. Les fruits, ovales-elliptiques, entourés d'un bourrelet, luisants, légèrement ridés, de couleur rousse ou ferrugineuse, atteignent au plus 4 millimètres ; leur queue est relativement courte. La plante fleurit en août.
Magazine (1883) Page(s) 286. M. Alph. Lavallée a reçu cette espèce d'un pépiniériste luxembourgeois sans autre désignation que le nom de Clematis du Japon. Je regarde comme n'en étant qu'une simple variété la forme suivante, d'ailleurs remarquable. 6bis. Clematis Lavallei, DCNE. VAR. FOLIOSA. C. suaveolens, monoica, 2-metralis et ultra; caulibus erectis; ramis dichotomis ramulisque cylindraceis divaricatis; foliis coriaceis, inferioribus trilobatis; lobo terminali late ovato, apice acuminato, basi cuneato, plus minusve grosse dentato, dentibus mucronulatis utrinque glabris; lobis lateralibus subsessilibus, inæquilateris, haud raro inciso-dentatis; foliis supremis minoribus, simplicibus, ovatis, integris v. lobulatis; floribus reflexis, opalinis; carpellorum caudis gracilibus, arcuato-reflexis, plumosis.
Les fleurs de cette belle variété exhalent, comme celle du type, à l'époque de leur épanouissement, une suave odeur de fleurs d'oranger. Ses tiges, de la grosseur d'une forte plume de cygne, ligneuses à la base, s'élèvent à plus de deux mètres et demi et se divisent en rameaux dichotomiques, très-divariqués, presque glabres ou pulverulents-incanes dans leur jeunesse. Ses feuilles inférieures, formées de trois lobes coriaces, sont portées sur des pétioles de longueur variable, de couleur verte ou teintés de violet; la division terminale, de forme ovale-arrondie, acuminée au sommet, cunéiforme à la base, porte trois nervures saillantes à la face inférieure et qui se perdent vers le sommet du limbe; les divisions latérales, presque sessiles, sont ovales, moins larges que la terminale, souvent lobulées et bordées ordinairement de très-grosses dents irrégulières que termine un petit mucron coriace et glabre. Les feuilles des rameaux supérieurs, ou floriferes, different complétement des précédentes en ce qu'elles sont généralement très-entières et toujours beaucoup plus petites, leur longueur dépassant rarement cinq centimètres. Les fleurs monoïques naissent soit solitaires à la bifurcation des ramules, soit en petites cymes triflores dont la médiane est femelle et les deux autres måles, et sont accompagnées de petites bractées lancéolées; les unes et les autres sont réfléchies au moment de leur épanouissement; mais les pédicelles des femelles ne tardent pas à se redresser en même temps qu'ils s'allongent jusqu'à 3 ou 4 centimètres. Les pedicelles des fleurs måles se désarticulent au point d'insertion du périanthe. Ce dernier est composé de sépales linéaires, crispés à leur extrémité, incanes en dehors, très-glabres en dedans et de couleur opaline. Les étamines (22 à 24), munies d'un filet glabre ou parsemé de quelques poils vers le sommet, portent une anthère linéaire mucronulée, mais à loges atrophiées chez les fleurs femelles. Les ovaires, ovales-arrondis, s'atténuent en un style glabre à la base, plumeux dans presque toute son étendue et terminé par un stigmate linéaire, blanc. Les fruits, petits, glabres, de couleur ferrugineuse, sont entourés d'un bourrelet et portent une queue grêle, flexueuse-arquée, très-plumeuse.
Magazine (1883) Page(s) 284. Clematis Kousabotan, Dcne. C. monoica; caulibus vix metralibus, erectis, striatis, glabris v. glabratis nec incanis; foliis inferioribus trilobatis, grosse irregulariterque inciso-dentatis; lobo terminali petiolato, subflabellato-orbiculari v. late ovato, basi cuneato v. subcordato, inciso-dentato v. lobulato; lobis lateralibus inæqualibus v. obliquis, sæpius ovatis, grosse et acute dentatis petiolulatis v. subsessilibus, superioribus longe cuneatis apice trilobulatis, supra glabris, subtus ad nervos pubescenti-villosis; ramis floriferis dimidia inferiori parte nudis; floribus modicis, cymosofasciculatis, breviter pedicellatis, arcuato-reflexis; sepalis linearibus, apice recurvis, margine incrassatis; staminum filamentis apice pilosis, antheris obtusis; ovariis nitidis, pilis raris inspersis; stigmate lineari; fructibus ovatis, flavis, longe caudatis. Clematis stans, Herb. Hort. bot. Petropol. (Tschonoski).
Cette plante s'élève rarement à plus d'un mètre; ses tiges, droites, assez grėles, anguleuses, sont presque glabres et non chez les incanes-pulverulentes comme autres. Ses feuilles sont trilobées; le lobe terminal est ordinairement arrondi-flabelle, beaucoup plus rarement ovale-acuminé, incisé-denté ou plus ou moins obscurément trilobé, à trois nervures saillantes, légèrement poilues en dessous; les lobes latéraux, presque sessiles, sont ovales-acuminés, dentés ou lobulés à lobes obtus ou acuminés, étalés; les feuilles qui accompagnent les derniers groupes supérieurs de fleurs sont ordinairement composées de lobes cunéiformes à la base, incisés-lobulés au sommet. Les fleurs, opalines, naissent en cymules fasciculées, triflores, portées sur pedicelles veloutés blanchâtres, arqués, réfléchis dans les fleurs måles, mais qui s'allongent notablement chez les femelles; il n'est pas rare de voir sur une même tige des rameaux entièrement composés soit de fleurs måles, soit de fleurs femelles, et se montrer ainsi partiellement dioïques. Les fleurs, de couleur opaline, inodores, sont formées de quatre sépales d'un centimètre à peu près de longueur, franchement tubuleux dans leur moitié inférieure, recourbés à l'extrémité, veloutés en dehors, très-glabres en dedans Les étamines, ordinairement au nombre de 12, se composent de filets linéaires, poilus au sommet, portant des anthères linéaires obtuses ou à peine apiculées. Les ovaires, ovoïdes, luisants, d'un vert olivatre, parsemés de quelques poils, s'atténuent en un style velu, terminé par un stigmate linéaire. Le fruit, ovoïde, luisant, prend à la maturité une couleur jaune ou ochracée. La plante fleurit en juillet. J'ai emprunté le nom spécifique de cette espèce au japonais: Kousa (herbe) et Botan (Clématite) (1). (1) HOFFMANN et SCHULTES.- Noms indig. pl. Jap., no 151, p. 29, in Journ. asiat., no 10, 1852.
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