'C. hookeriana' clematis References
Book (2006) Page(s) 12. Clematis hookeriana is a name that was adopted by Allan (1961) for plants now referred to the admittedly rather variable C. forsteri .... Previously this species had been considered endemic to the Cook Strait coastline. Allan (1961) had coined the name because he believed that such plants had previously been wrongly identified as either Clematis hexasepala (Hooker 1852) or Clematis colensoi (Hooker 1864)—names which are, for various reasons no longer in use today anyway. As regards C. hookeriana, Heenan and Cartman (2000) showed that the name was illegitimate and invalid because a Latin description or diagnosis had not been prepared for it by Allan (1961) nor did he select a type specimen.
Book (1999) Page(s) 130. Clematis colensoi, New Zealand, 1968
Magazine (1883) Page(s) 282-283. 3. Clematis Hookeri, DCNE. C. monoica, inferne lignosa; ramis erectis, angulatis, glabris v. pube intactili inspersis, sæpius atro-violaceo striatis v. tinctis; foliis inferioribus longe petiolatis, lobis cordatis dentatis v. lobulatis, dentibus apiculatis; superioribus subsessilibus, coriaceis, intense viridibus, subbullatis, glabris; floribus pedicellatis, pedicellis reflexis intense cæruleis extrorsum sericeis; antheris muticis; ovariis ovatis, stigmate crasso, albo; fructibus parvis, primo olivaceis, dein fulvis, pilosiusculis. Clematis tubulosa, Hook., Bot. Mag. 4269; Fl. des Serres, III, 195; JACKMAN, Clem., p. 147, Icon. xylogr., 17.; Paxt. Mag. of Bot., XIV, 31, non LINDL.
Cette espèce diffère du Clematis tubulosa Turcz. par ses tiges ligneuses dans leur moitié inférieure et d'où naissent des rameaux herbacés, annuels, comparables voyons sur le Pæonia Moutan, et s'éloigne du Cl. Davidiana par sa monoïcité, les lobes cordiformes de ses feuilles, épaisses, à nervures primaires naissant exactement à la base du limbe, par ses fleurs ordinairement pédicellées, enfin par ses anthères mutiques et non apiculées. Le Cl. Hookeri est le plus précoce du groupe; sa végétation se manifeste ordinairement à la fin de février. Ses tiges, de la grosseur d'une forte plume de cygne, anguleuses, à peu près glabres, striées ou teintées de violet foncé, s'élèvent droites à environ 80 centimètres. Les feuilles inférieures sont portées sur de longs et forts pétioles, canaliculés en dessus, d'un violet foncé ainsi que les pétiolules; leur limbe cordiforme, fortement denté ou plus ou moins lobulé, est parcouru par trois nervures partant exactement du sommet du pétiolule; les lobes inférieurs, plus ou moins inéquilatéraux, cordiformes ou arrondis à la base, sont, comme le terminal, coriaces, presque hullés, d'un vert très-foncé en dessus et glabres sur les deux faces. Les fleurs axillaires, fasciculées ou disposées en sorte de panicules, sont d'un bleu indigo très-foncé, soyeuses en dehors, glabres en dedans, mesurant environ 3 centimètres 1/2 de longueur; leur bouton, avant l'épanouissement, présente une sorte de bec obtus. Les étamines, au nombre de 16 à 20, sont munies de filets linéaires, glabres, incolores ou légèrement opalins, qui portent des anthères linéaires mutiques ou à peine apiculées, Les ovaires ovoïdes, couverts de longs poils blancs dressés, s'atténuent en style terminé par un stigmate épais, papilleux et blanc. Les fruits petits, ovoïdes, hispides, d'abord de couleur olivâtre, puis roussâtre, marqués d'un bourrelet circulaire à la maturité, se terminent en une queue plumeuse relativement assez courte et d'un centimètre environ de longueur. Le réceptacle sur lequel il reposent est hémispherique et velu. La plante fleurit en septembre.
Book (1849) Page(s) 154-155. C. hexasepãla DC. Sechsblumenblättrige W. (C. hexapetala Forst.) Ђ Neuſeeland. Bl. im Frühl. – Stengel etwas kletternd. Blätter dreizählig oder doppelt 3zählig, glänzend, glatt; Blättchen eirund, herzförm, breit gekerbt, genervt, lederartig. Blumen weißgrün, mit 3 Kelch- u. 3 Kronblättern, zu 3–4en auf ziemlich langen Stielen winkelſtändig mit 6 Staubgefäßen, nicht ansehnlich, aber zahlreich u. wohlriechend. – Cultur wie bei Nr. 1 [C. azurea]
Book (1846) Page(s) 372-373. Clematîs hexasepala. DeC. M. Lindlcy laisse cette plante dans le genre clematis , mais c'est en protestant contre les vues des classificateurs à systèmes. Il ne conçoit pas, dit-il, qu'on puisse mettre dans un même genre des espèces à structure ternaire et à étamines en nombre défini , et des espèces à structure quaternaire avec les étamines indéfinies. Le nom de Triquadria est bien aujourd'hui celui d'une section dans le genre clématite , mais il deviendra tôt ou tard celui d'un vrai genre. Cette espèce est une plante de la Nouvelle-Zélande, présentée en 1844 à la société d'horticulture de Chiswick, par M. Gowen. Elle est petite, grimpante, avec des feuilles ternées ou biternées , à pétioles longs, arrondis et enlaçants, les lames cordées-ovées, un peu dentées et parfois trilobées. Les fleurs sont petites, d'un vert pâle, très odo- rantes et naissent au nombre de deux , trois ou quatre aux aisselles des fleurs. Les pédoncules sont longs et poilus et chacun possède deux petites bractées vers leur milieu. Les sépales sont au nombre de six , oblongs et disposés en étoile. Il y a toujours six étamines , à peu près de la moitié de la longueur des sépales. Sir Joseph Banks, en 1769, en trouva les premiers pieds, et feu M. Allan Cunningham revit la plante à la Nouvelle-Zélande. Elle est vivace , de serre tempérée , demandant un loam léger; elle se reproduit facilement par des boutures faites sur bois serai-dur. Protégée par une serre tempérée, elle fleurit en avril et quoique ses fleurs soient vertes c'est néanmoins une jolie espèee surtout recommandable par son parfum. [Bot. reg. 44, août 1846.) MM. Miellez à Lille, Verschaffelt et Van Geert à Gand, la possèdent.
Magazine (1846) Page(s) tab 44. Includes photo(s). CLEMATIS hexasepala. Six-petaled Virgins bower. C. hexasepala, DeCandolle's Prodromus, vol. 1. p. 5. A. Cunningham in Annals of Natural History, vol. 4. p. 260. Journal of the Horticultural Society, vol. 1. p. 239. C. hexapetala, Forst. Prodr. n. 230.
Although, in conformity with the authors who have gone before us, we leave this plant in Clematis, yet we do so with a protest against its being so regarded by systematists: for how can a plant with a ternary structure and definite stamens be associated with those which have a quaternary structure and indefinite stamens? For the present the name TRIQUADRIA, expressive of this remarkable peculiarity, may stand as the name of a section; but it will surely be taken hereafter as that of a genus. It is a New Zealand plant, seeds of which were presented by J. R. Gowen, Esq., in 1844, to the Horticultural Society, in whose Journal the following account is given of it: "This is a little twining plant, with shining nearly smooth ternate or biternate leaves, whose petioles twine round any small body with which they may come in contact. The leaflets are cordate-ovate, coarsely serrated, and often three-lobed. The flowers are small, pale green, very sweet-scented, and appear in threes or fours from the axils of the leaves. Their stalks are long and hairy, and each has a pair of small bracts below the middle. The sepals are very uniformly six in number, of a narrowly oblong form, and spreading so as to form a small green star. Contrary to the usual structure of the genus, the stamens are constantly six only in number, and about half as long as the sepals. The late Mr. Allan Cunningham gathered it in the northern island of New Zealand, but it was first found by Sir Joseph Hunks in 1769, and a drawing of it is said to be preserved in the Banksian Library. "It is a hardy greenhouse plant, requiring a light loamy soil to grow in, and is easily increased by cuttings of the half ripened wood. It only requires the protection of a cold pit or frame during winter, and flowers abundantly in April. "Although its blossoms are green and inconspicuous, it is far from an unimportant species, on account of its blooming freely, and being very sweet-scented."
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