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Roses, Clematis and Peonies
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'C. graveolens Lindl.' clematis References
Website/Catalog  (1919)  Page(s) 66.  
 
Clematis graveolens. Yellow....10 pieces M 25.-, 100 pieces M 200.-
Book  (1912)  Page(s) 84.  
 
Clematis L. — N. Pff. iii. 2. 62. — Ranunculaceæ-Clematideæ.
graveolens Lindl. — Fl. Brit. Ind. i. 4; Kuntze, Mon. 124; B. M. t.4495; Fl. d. S.. t. 548. — Himalaya. — ♃ §.  
Website/Catalog  (1907)  Page(s) 65.  
 
Clematis in pots to plant out in spring and summer.
General Collection.
26 graveolens, pale yellow.
Book  (1906)  Page(s) 54.  
 
Principal garden varieties of Clematis:
Graveolens (or Flammula) type.  (July to October.)
Graveolens... Pale yellow.
Magazine  (1877)  Page(s) 268.  
 
Clematis graveolens (Lindl.); Tartarie chinoise; jaune.
Website/Catalog  (1875)  Page(s) 79.  
 
CLEMATIS. Virgin's Bower.  Waldrebe, Ger. Clematite, Fr.
The Clematis are elegant, slender branched shrubs, of rapid growth, handsome foliage and beautiful large flowers of all colors.  The newer varieties introduced within the last five or six years are great acquisitions.  Either in the open ground as pillar plants, bedding plants, single plants in masses or about rock-work, or cultivated in pots or tubs, the Clematis cannot be excelled.
We append the following from the English "Gardener." Jackman's Clematises: "They are magnificent; and more than this, they do give us some of the grandest things in the way of creepers the horticultural world has ever seen, making glorious ornaments either for walls, verandahs, or rustic poles or pillars, varying in color from deep rich violet hue to dark velvety maroon, and in the newer seedling forms, beautiful shades of pale bright blue."
They will stand the severest Winters if the roots are slightly covered.
Class II. Varieties Flowering in the Spring and Early Summer, on the Old or Ripened Wood.
C. graveoli.  Yellow flowers.
Book  (1863)  Page(s) 1016.  
 
C. graveolens, Lindl.; C. A ODEUR FORTE. Tartarie chinoise. Petit arbrisseau grimpant; feuilles pennées, folioles ternées, à lobes incisés; fleurs terminales, solitaires, d'un jaune tendre, d'une odeur forte et peu agréable. Plante très rustique pouvant garnir le pied des treillages ou des palissades.
Magazine  (1853)  Page(s) 67.  Includes photo(s).
 
331. Clematis graveolens. Lindley.  A hardy climber from the north of India.  Leaves pale green, deciduous.  Flowers greenish yellow, heavy-scented.  Flowers in the middle of summer.
This pretty little plant was raised in the garden of the Horticultural Society, from seeds collected by Captain William Munro, in Chinese Tartary, and the Snowy Passes, at an elevation of 12,000 feet.  In cultivation it proves to be a small slender climbing species, perfectly destitute of heiriness, except on the calyx and fruit.  The leaves have very small ovate, three-lobed, leaflets, and long straggling footstalks.  The flowers are solitary, at or near the extremity of the branches, pale yellow, rather pretty, but emitting a heavy smell, which, in a greenhouse, is more disagreeable than pleasant, but is not observed in the open air.  It proves to be perfectly hardy in the severest winters; grows freely in any good loamy soil, and is easily increased by cuttings.  The seed was sown in the garden of the Horticultural Society on the 17th of May, 1845; and the plant was in flower by the end of July, 1846.  See Journ. of Hort. Soc., vol.i., p.307.
 
Magazine  (Aug 1851)  Page(s) Vol. II, tab 128.  
 
CLEMATIS GRAVEOLENS.
clématite à odeur forte.
Étym.χληματς (ίδος), Clematis; les Grecs, et d’après eux les Latins, donnaient ce nom à des plantes grimpantes (ou non grimpantes) aujourd’hui indéterminées. Voyez Pline, natur. (lib. XXIV. Cap. X....... Clematida appellaverunt repentem per arbores geniculatam et ipsam) et cap. XV.
Ranunculaceæ § Clematideæ.
CHARACT. GENER. Calyx corollinus tetraphyllus, foliolis æstivatione valvatis v. subinduplicatis. Stamina indefinita hypogyna. Ovaria plurima libera unilocularia, ovulo unico pendulo. Achœnia plurima sessilia stylo nudo v. barbato caudata. Semen inversum.
Herbæ erectæ v. suffrutices sarmentosi scandentes in zonœ temperatœ regionibus calidioribus ubique majore copia
obvii
, foliis oppositis integris v. pennatisectis, petiolis quandoque cirrosis , inflorescentia composita, floribus sœpius bibracteolatis , bracteolis interdum flori approximatis involucrum bilobum constituentibus .
Clematis L. Gen. 696. Jess. Gen. 232. Gærtn. I. 356. DC. Syst. I. 131. Prodr. I. 2. excl. sp. Meisn. Gen. PI. I. (i) Clematitis Tourn. Inst. 150. Meclatis Spach, S. à B. VII. 272.
a. Viticella DC. l. c. Invol. nallum. Cal. æstivatio valvata. Achæniorum caudæ brèves imberbes.— Dillen, Giess. 165. Jacq. Hort. Schœnbr. t. 357. Bot. Mag. t. 834. 1892. DC. PI. rar. jard. Genève, t. 12. Bot. Reg. t. 1955. II. t. 25.
b. Flammula DC. l. c. Invol. nullum. Cal. æstiv. valv. Achæn. caudæ barbato-plumosæ. — Clematitis Moench , Meth. 196. Stylurus Rafin. Flor. ludov. 27. Trigula Noronh. Msc. Clematopsis Bojer, Msc. Gærtn. t. 74. Jacq. Fl. Aust. t. 291. 308. 336. Ic. rar. t. 104. Jacq. fil. Ecl. 1.1. 32. Bot. Mag. t. 1816, Bot. reg. t. 238. 599. 1234. Deless. Icon. Select. I. 1-5. Hook. Fl. bor. Am. t. 1. Ic. PI. t. 10. 77. — 80. Wall. PI. as. rar. t. 20. 98.
c. Cheiropsis DC. l. c. Invol. subflore diphyllum. Cal. æstiv. induplicata. Achæn. caudæ barbatæ.— Viorna Persoon, Encheir. II. 98. Muralta Adans. Fam. II. 460. Sibth. Fl. græc. t. 517. Bot. Mag. t. 995. Wall. 1. c. t. 217.
Endlich. Gen. PI. 4768.
CHARACT. SPEC, C. (§ flammula ), glaberrima gracilis, caule scandente filiformis angulato, foliis pinnatim bi- tri-ternatis, foliolis parvis 5-partitis trilobisque, laciniis ovatis integris nunc hinc inciso-serratis, floribus solitariis, pedunculis foliis longioribus, sepalis i oblongis obtusis apice recurvis intus tomentosis, achæniiis pubescentibus, caudis phimosis. Lindl. 1. i. c.
Clematis graveolens Lindl. in Journ. of Hort. soc. 1. 307. c. ic. Ch. L. in Fl. d. S. et d. J. de l’Eur. IV. 4746 W. Hook. Bot. Mag. t. 4495 (1850). Ic. hic. repet.

Cette jolie petite espèce de Clématite a été découverte, en 1844, par le capitaine d’infanterie anglaise Munro, dans les gorges neigeuses (snowy Passes) du versant occidental de l’Himalaya, dans la Tatarie chinoise, à 12,000 pieds d’altitude au-dessus du niveau de la mer; il en fit parvenir la même année des graines au Jardin de la Société d’Horticulture de Londres, dans lequel, semées seulement en mai 1845, ces graines donnèrent des individus qui fleurirent dès l’année suivante. Trois ans après (1847), le Jardin de Kew en reçut, de son coté, des graines recueillies au Thibet par le Dr Thom. Thomson. Aujourd’hui, cette plante commence à se répandre dans les jardins, où elle parait, en raison de la latitude élevée, où elle croît dans ses sites natals, pouvoir braver nos hivers à l’air libre.
Descr. Elle ne paraît pas devoir dépasser une longueur de 6 à 8 pieds; elle est entièrement glabre, sufïrutiqueuse, très ramifiée, à rameaux grêles, obtusément anguleux, un peu renflés aux articulations. Pétioles plans, un peu dilatés, amplexicaules. Feuilles opposées, pennati-bi- ou tri-ternées; folioles pétiolulées, ovées ou lancéolées, 1-2-3-lobées, rarement entières, subrécurves. Pédoncules dressés, plus longs que les feuilles, grêles et uniflores. Fleurs nutantes, assez grandes, d’un jaune verdâtre, passant au jaune d’or. Lacinies 4, ovées, aiguës, épaisses, soyeuses en dedans, finement ciliées au bord, étalées. Étamines nombreuses, à filaments subulés, poilus; anthères adnées, oblongues. Achaines tomenteux et terminés par un long processus plumeux et légèrement onciné au sommet.

Selon M. Lindley, les fleurs dans cette espèce exhalent une odeur forte, pénétrante, assez peu agréable : odeur que M. W. Hooker dit n’avoir pas remarquée dans l’individu qu’il a observé, et dont l’absence ou la présence dépend, selon lui, de l’état de l’atmosphère!
Explication des Figures analytiques.
Fig. 1 et 2. Étamines (fig. gross.).
CULTURE. (Pl. T.)
Tout terrain sec! Planter v en haie, le long d’un berceau, d’une tonnelle, etc. Multiplication prompte par graines, boutures et éclatage du pied.
On peut se le procurer chez MM. Ambr. Verschaffelt, à Gand , et Nap. Baumann, à Bollwiller (France, Ht -Rhin).
Magazine  (1851)  Page(s) 31.  
 
Clematis Graveolens.  Clématite à forte odeur.
Ranunculaceæ, Clematideæ. DC. — Polyandria-Polygynia, Linn.
Charact. Specif. — « C. (Flammula) scandens, glaberrima, gracilis; caule filiformi obtuse angulato; foliis pinnatim bi-triternatis, foliolis parvis 3-partitis 3-lobisque, laciniiis ovatis, integris, nunc hinc inciso-serratis; pedunculis axillaribus, elongatis, unifloris, folio longioribus; sepalis 4 ovatis, acutis, crassis, intus pubescentibus; filamentis subulatis, hirsutis; acheniis pubescentibus, caudis plumosis. »
 Clematis graveolens. Lindl. in Journ. of the Hortic. Soc. vol. I, p. 307 (cum icone xylograph.)  W.-J. Hook. Bot. Mag., Tab. 4495.
Modeste et jolie, — ces deux mots résument notre jugement sur la nouvelle Clématite: rustique, peu délicate sur le choix du sol, — ce sont là deux titres à la faveur des amateurs modestes comme elle, de ceux-là, voulons-nous dire, qui savent goûter les jouissances faciles, et pour qui la belle nature est aussi fraiche sous le simple habit villageois que sous des atours de grande dame.
La grande dame, parmi les Viornes, c'est, si vous voulez, la Clematis azurea; la villageoise, nous dirions presque la grisette, c'est la Clematis graveol... méchant surnom! le cœur nous manque pour l'achever, malgré le commode privilège de la liberté latine.  Ah!  Monsieur Lindley, pour un galant homme comme vous, c'est mal de trahir le défaut d'une pauvre petite étrangère qui vient humblement demander un petit coin de nos jardins.
Et cette étrangère vient de loin, ni plus ni moins que de la Tartarie chinoise et des cols de la portion occidentale de l'Himalaya, régions neigeuses, élevées de plus de 3650 mètres au-dessus du niveau des mers.  Découverte par son premier introducteur le capitaine W. Munro, elle fut retrouvée plus récemment par le Dr. Th. Thomson, digné émule de son ami J.-D. Hooker, et qui le premier entre les naturalistes, porta l'exploration scientifique dans ces régions trans-himalayennes.
En 1848, deux ans après son introduction à l'état de graines, la nouvelle Clématite développa ses jolies fleurs (dans le jardin de la société d'horticulture à Chiswick).  Le jardin de Kew vient de la voir fleurir à son tour, des graines envoyée plus récemment par M. Thomson, et cette fois, au dire de sir W. Hooker, ses fleurs offraient à peine le moindre odeur: peut-être, ajoute le savant anglais, cette circonstance provient d'un état particulier de l'atmosphère.  Que l'atmosphère te soit propice, pauvre petite émigrée!  —J. E. P.
Culture.
Malgré les preuves à peu prés certaines en faveur de sa parfaite rusticité, il faut par surcroit de précaution donner à cette jolie liane l'abri d'un mur avec une bonne exposition.  Rien ne paraît, du reste, être plus simple que sa culture: l'assimiler en tous points à nos Clématites indigènes, que leur port grimpant rend aptes à former des berceaux, ou à garnir des tonnelles.  Sa floraison, très abondante, a lieu pendant les mois d'été.  —L.VH.
 
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