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'R. coriifolia froebelii' rose References
Website/Catalog (2006) Page(s) 45, 79. Rosa corymbifera Borkh. var. froebelii (Christ) Rehd. = R. froebelii Christ = R. laxa hort. non Retz = R. dumetorum Thuill. vel R. corymbifera 'Laxa' - ca. 1890
Article (magazine) (2001) Page(s) 393. R. coriifolia Fr. var froebelii (Lambert) Rehder Ploidy 5x Pollen fertility 45.1% Selfed Fruit set 100% Selfed Seed set 77.6%
Magazine (1993) Page(s) 17. [From article on "Roses of the 19th century in Switzerland" by Eeva Ruoff]...A vehement discussion was caused by the naming of a wild rose which Froebel & Comp from Zürich received in the 1870s, probably from Turkestan. Otto Froebel determined that this plant was eminently suitable as understock for standards and other roses due to its good rooting, the smooth, almost prickleless canes and the fact that she never suckers. He called it Rosa laxa. Hermann Christ, the well-known rosarian from Basel...came then to the conclusion that this wild rose is a subspecies of Rosa canina and gave it the name Rosa canina L var. Froebeli Christ. This was not appreciated by many people who were jealous of the the internationally known and temperamentful Otto Froebel and his success....
Book (1986) Page(s) 179. Understocks... corymbifera 'Laxa' (R. laxa; R. dumetorum l.)
Magazine (Feb 1951) Page(s) 1. trimester, p. 25. [From the article "La Rusticité des Roses", by Wilhelm Kordes, pp. 24-27] En ce dernier hiver, de toutes les formes Canina, seule Canina Pfander demeura sans dommage. Toutes les autres: Inermis, Senff, Laxa, Brog et, en d'autres endroits, Heinsohns Rekord, se sont trouvées gelées. ... Suivant les avis des jardiniers, les roses greffées sur Rugosa hollandica devraient supporter les températures les plus basses par rapport à Canina Pfander, R. Multiflora, Heinsohns Rekord, Wadenswiler Canina, Senffs Canina, Schmids Ideal, Corriifolia frobelii, Rehder (Laxa, hort), et Inermis hort. (Gamon). Cet ordre d'énumération pourrait figurer, approximativement, la résistance respective des portegreffes, envers les rigueurs de l'hiver.
Magazine (Jul 1950) Page(s) 3. trimester, p. 69. [From the article "Les Portes-Greffes du Rosier" by André Leroy, pp. 68-74] ...on a sélectionné diverses formes de Canina :... — Le Canina type, de Robichon, vigoureux et qui se multiplierait bien de bouture
Magazine (Jul 1950) Page(s) 3. trimester, p. 71. [From the article "Les Portes-Greffes du Rosier" by André Leroy, pp. 68-74] Une grande confusion règne aussi au sujet du Laxa appelé quelquefois Froebeli. Le R. Laxa vrai est le Rosier lâche de Retzius, il appartient à la section des Rosiers Cannelles (Cinnamomae). Le R. Froebeli, de Lindley, n'est qu'une forme du Rosier de Pensylvanie, R. Humilis. Eh bien, en fait, et Cochet l'a indique dès 1898, le Laxa, des pépiniéristes n'est ni l'un, ni l'antre. Ce serait une forme de R. Canina, le R. Canina Froebeli, de Christ, mis au commerce par l'horticulteur Otto Froebeli, de Zurich. Il existe très certainement en pépinières plusieurs types de Laxa. Il serait intéressant de les reconnaître, de les isoler et d'en établir une description précise. Le Laxa que nous étudions à Sceaux nous a été donné par notre collègue Francis MEILLAND- C'est une sorte de Canina, très peu épineux, à feuillage plus ample et d'un vert plus glauque que celui du Canina type.
Book (1937) Page(s) 70. Froebelii Rehd. (variety of coriifolia Fries) [ploidy] 35 ([thereof univalents:] 21)
Book (1936) Page(s) 282. R. Froebeli (canina) Froebel ca. 1890; white, single. Understock for bush-roses. Not R. laxa. Central Asia. = R. Froebelii Christ. Sangerhausen
Magazine (Jun 1915) Page(s) 189(photo), 190-191. Includes photo(s). [From "REMARQUES SUR QUELQUES SUJETS EMPLOYES POUR GREFFER LES ROSIERS", (cont'd) by Viviand-Morel, pp. 188-191] Rosa laxa Hort. — Quand on voit à la suite d’un nom de plante la signature Hort., on peut presque toujours en conclure que ce nom est celui que les jardiniers ont accepté et qui leur a été livré en premier lieu sous ce nom qui est souvent fautif. C’est le cas pour le Rosa laxa qui a pénétré dans les cultures comme un sujet recommandable pour greffer les Rosiers. On le dit originaire du Turkestan. Plusieurs Rosiers sauvages portent le nom de Rosa laxa, l’un de Retzius, l’autre de Lindley, qui n’ont que des rapports éloignés avec le Rosier proposé pour greffer les Rosiers. D’après le docteur Christ, qui a étudié ce Rosier, il faudrait le désigner sous le nom de Rosa Frœbeli, Frœbel l’ayant mis au commerce. Il appartient comme variété au grand groupe des R. canina. Quoi qu’il en soit, au point de vue de la nomenclature botanique de ce Rosier sauvage, il a été employé avec succès comme sujet à greffer les Rosiers. La question serait de connaître les résultats qu’il donne au point de vue de la production des « gourmands », « rejards », « rejets », « rameaux stolonifères », qui sont, à la longue, la cause de la végétation défectueuse des belles mais délicates variétés de Roses thé greffées sur R. canina ou toutes autres sortes d’Eglantier sauvage de nos pays. Il paraîtrait, si on en croit les on dit, que le Rosa Frœbeli (R. laxa Hort.) ne produit pas de rejets. Ce' serait aux rosiéristes professionnels à faire des expériences pour vérifier ce que cette assertion a de fondé. Ils-y sont intéressés pécunièrement plus qu’ils ne pensent, car si cette particularité biologique du R. laxa se vérifiait, ils pourraient réserver ce sujet d’élite à la greffe des sortes remarquables plus haut désignées. De même que les Rosiers tiges ou mi-tiges ne se vendent pas le même prix que les Rosiers francs de pied ou greffés rez-terre, nul ne les obligerait à céder les Rosiers greffés sur R. laxa Hort. dans les mêmes conditions que ceux greffés sur canina ordinaire. Moi, amateur, par exemple, je n’hésiterais pas cinq minutes à payer 10 centimes de plus par sujet pour être certain d’avoir des Rosiers sans gourmands. J’ai entendu dire que le R. laxa Hort. (non Retzius, non Lindley), avait une écorce plus épaisse que les Roses canines de nos pays et, pour cette cause, était un peu plus malaisé à greffer. Il y aurait une petite enquête à faire sur ce défaut. La Société française des Rosiéristes est toute indiquée pour la mener à bien, et j’aime à penser qu’elle voudra bien la provoquer et surtout établir, à côté de l’école d’études des synonymes des expériences pour vérifier elle-même si oui ou non le Rosa laxa ne produit pas de rejets. Depuis que cette note a été écrite en 1899, il ne semble pas que ce Rosa laxa ait fait beaucoup de progrès comme sujet à greffer. Peut-être n’a-t-on poussé l’enquête assez loin sur ses qualités. Il aurait été intéressant de savoir, par exemple, si en sa qualité d’origine orientale, il ne se comporterait pas mieux dans le Midi comme sujet que les R. canina du Nord. Au Congrès des Rosiéristes français tenu à Angers en 1903, le regretté et très habile rosiériste M. Vilin, de Grisy-Suisnes, chercheur émérite, homme de progrès, avait apporté de ses cultures de très belles tiges de Rosa laxa qu’il recommandait comme de bons sujets pour greffer les Rosiers hautes tiges. Les pépiniéristes de l’Anjou trouvant facilement dans les haies de leur pays des tiges d’Eglantiers, il ne semble pas que celles du Rosa laxa Hort. soient entrées dans la pratique habituelle du greffage. Mais la rareté des belles tiges d’Eglantiers dans les bois du Lyonnais attirera peut-être, plus tard, à nouveau l’attention des rosiéristes lyonnais sur ce sujet.
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