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Roses, Clematis and Peonies
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'C. Hendersoni venosa' clematis References
Website/Catalog  (1924)  Page(s) 107.  
 
Viticella Venosa. Fleurs arrondies, bleu foncé veiné de blanc.
Magazine  (1884)  Page(s) 142.  
 
Viticella venosa. Magnificent violet, veined reddish
Magazine  (Oct 1878)  Page(s) 160.  
 
Arbustes d'Ornement en Espalier ...Clematis. — Toutes les espèces et variétés à grandes fleurs : Cl. lanuginosa, patens, Jakmanni, viticella venosa, Fortunei, bicolor, etc., trop connues pour que nous ayons à en faire l'éloge. Très rustiques, terre sablonneuse. Leur ajouter les Cl. glauca, orientalis, biternata, apiifolia, japonica, moins connues qu'elles ne méritent de l'être.
Magazine  (1877)  Page(s) 261, 272.  
 
p. 261: Cl. Vitic. venosa. — Journ. d’hort. prat. de Belg., V, 102. — Wochensch., 1861, 232. — Florist and Fruit., 1800, 26. — Rev. hort., 1869, 241; 1874, 84, 425. — Fl. des Serres, XIII, 137; XVIII, 31.

p. 272: Clematis Viticella venosa (5 à 6 pétales), Flore XIII, 137; bleu.
Website/Catalog  (1875)  Page(s) 79.  
 
CLEMATIS. Virgin's Bower.  Waldrebe, Ger. Clematite, Fr.
The Clematis are elegant, slender branched shrubs, of rapid growth, handsome foliage and beautiful large flowers of all colors.  The newer varieties introduced within the last five or six years are great acquisitions.  Either in the open ground as pillar plants, bedding plants, single plants in masses or about rock-work, or cultivated in pots or tubs, the Clematis cannot be excelled.
We append the following from the English "Gardener." Jackman's Clematises: "They are magnificent; and more than this, they do give us some of the grandest things in the way of creepers the horticultural world has ever seen, making glorious ornaments either for walls, verandahs, or rustic poles or pillars, varying in color from deep rich violet hue to dark velvety maroon, and in the newer seedling forms, beautiful shades of pale bright blue."
They will stand the severest Winters if the roots are slightly covered.
Class I. Perpetuals, Flowering in the Summer and Autumn, on Summer Shoots.
C. Viticella venosa.  Flowers rich purple; each petal veined with crimson.  A constant bloomer.  $1.00.
Magazine  (1 Mar 1874)  Page(s) 84-85.  
 
Le fait que nous avons rapporté dans une précédente chronique, de la production en quantité considérable de graines sur un pied de la Clématite viticella venosa nous a valu la très-intéressante lettre que voici :
Dijon, le 10 janvier 1874.
Monsieur le rédacteur en chef,
Je m’occupe depuis longtemps de chercher les lois de la variation dans le règne végétal, dans le but d’établir, sur des bases rationnelles, la science du diagnostic végétal, dont la connaissance est aussi utile à l’horticulture que celle du diagnostic médical l’est au médecin. A ce titre un fait cité par vous dans votre chronique horticole (Rev. hort ., 1873, n° 21, p. 462) m’a particulièrement intéressé. Voulez-vous me permettre de vous adresser une question à ce sujet, et vos nombreuses occupations vous laisseront-elles le temps de me répondre?
Il s’agit d’un hybride, la Clématite viticella venosa qui, depuis vingt ans que vous la cultivez, s’était toujours montrée stérile, quand cette année un pied, un seul parmi plusieurs autres, s’est couvert de graines. En étudiant les farts de cet ordre que j’ai pu rencontrer dans les publications horticoles, et particulièrement dans la Revue , je suis arrivé à l’opinion suivante :
Par suite d’une fécondation artificielle heureuse, un hybride est constitué, un nouveau type est créé ; mais l’être vivra-t-il, et le nouveau type se perpétuera-t-il ? Telle est la double question qui se présente à l’esprit, et dont la solution intéresse à un égal degré la théorie et la pratique, la botanique et l’horticulture.
Le père et la mère ont transmis au nouveau né un certain nombre de leurs caractères proprès ; voilà le point de départ fourni par l’observation ; voici maintenant la principale conséquence à en déduire. Du mélange, dans l’hybride, d’une partie des caractères paternels et maternels résulte un assemblage plus ou moins harmonieux de qualités d’origines différentes, et pouvant produire par conséquent un être moins ou plus hétérogène. Aussi, de ce fait, il est possible que l’individu nouveau présente des caractères franchement incompatibles, comme le seraient, par exemple, un puissant feuillage uni, dans le même végétal, à un appareil radical rudimentaire. Dans un cas pareil, l’être est d’avance condamné: il doit mourir prématurément, souvent même dans son extrême jeunesse, pendant les premières phases de sa germination; cela ; dépendra de la gravité des désordres ou mieux du degré d’incohérence provoquée dans son organisme par son origine mixte. Les incompatibilités organiques sont-elles un peu moins nombreuses et surtout un peu moins accentuées que dans le cas précédent? l’être vivra, mais restera chétif, souffreteux, et les défauts d’équilibre de son organisation se trahiront encore par une stérilité absolue. Le manque de conformité s'atténue-t-il encore? l’être reste vigoureux, bien portant; sa végétation ne laisse rien à désirer, mais il ne fleurit pas, témoignant par son impuissance qu’un ordre parfait ne règne pas en lui. Ce qui revient à dire, proposition d’ailleurs évidente, que pour qu’une plante jouisse de la plénitude de ses facultés et puisse parcourir le cycle entier de ses fonctions, il faut que l’accord le plus complet existe et surtout persiste entre tous ses organes.
Mais l’impuissance fonctionnelle peut avoir une autre cause : le défaut d’harmonie entre l’organisme et le milieu ; et, comme dans le cas précédent, le désaccord est-il trop prononcé? l’être meurt prématurément; est-il moindre? l’être vit, mais sans fructifier; est-il moindre encore, à peine sensible, ou mieux encore, nul? l’être jouit de la plénitude de ses actes, ce qu’attestent à la fois et sa végétation vigoureuse et sa fructification abondante.
Cette explication soulève une dernière question.
Ces désaccords, soit entre les divers organes de l’individu, soit entre ce dernier et le milieu, peuvent-ils disparaître sous l’influence du temps, aidé surtout d’un traitement convenable? Je penche pour l’affirmative, et voici comment j’interprête, jusqu’à meilleure information, le fait que vous signalez.
Pendant vingt ans la Clématite viticella venosa n’a point fructifié dans vos cultures parce qu’il y avait chez elle ou incompatibilité organique, ou insuffisante harmonie entre elle et le milieu. Mais à la longue, par la double influence de la propagation et de la culture, il s’est formé un individu qui, en raison des modifications successives éprouvées par la série des plantes issues du même pied, a présenté une meilleure adaptation de ses organes, soit entre eux, soit au milieu, et dès lors cet individu a pu et devait fleurir.
En vertu de cette manière de voir, je suis porté à croire que la plante qui a fructifié cette année doit avoir éprouvé une variation, variation qui, je le répète, en établissant l’harmonie entre ses organes ou entre elle et le milieu, a rendu enfin la fructification possible. Mais quelle est la nature de cette variation? Voilà ce que je demande à votre obligeance de vouloir bien m’indiquer.
Veuillez agréer, etc. H. Emery,
Professeur à la Faculté des sciences de Dijon.
Nous nous félicitons d’avoir soulevé une question digne d’intéresser un savant aussi éminent que M. le professeur Emery, et nous n’hésitons pas à lui en témoigner notre reconnaissance, et le remercions en même temps de la lettre qu’il a bien voulu nous adresser. Mais l’amour de la vérité devant passer avant tout, nous croyons de notre devoir de la faire suivre de quelques observations.
Disons d’abord que, loin de simplifier la question, cette lettre la complique singulièrement, ce qui, du reste, était inévitable, car, telle qu’on la comprend, cette question n’est qu’un fait secondaire, c’est-à-dire une conséquence qui fatalement découle de son principe auquel elle est subordonnée. Or, ce principe étant l'espèce, sorte de mythe sur lequel on n’est ni ne peut être d’accord, il en est forcément de même de sa conséquence : l'hybride. Qu’est-ce que l'espèce? Qu’est -ce que l'hybride — nous pourrions même dire la race , la variété , le métis ? — Des mots sur lesquels chaque savant a une opinion particulière, ce qui se comprend, ces choses résultant d’appréciations individuelles. On oublie trop cette grande vérité, que la nature fait des choses auxquelles l’homme donne des noms suivant la manière dont il les envisage et le point de vue où il se place, toutes choses variables avec les individus et souvent avec leurs intérêts. Aussi, au lieu d’émettre une hypothèse pour expliquer le fait de la fructification de la Clématite viticella venosa , nous sommes-nous borné à le citer.
De ceci doit-on conclure qu’on ne peut, sinon résoudre cette question, du moins l’éclairer? Nous sommes convaincu du contraire, à la condition toutefois qu’on l’abordera dans son véritable sens, sans avoir égard aux idées reçues, et qu’alors, dépouillé de vieilles idées, on la traitera avec la har diesse qui convient à celui qui, dépourvu de préjugé, ne cherche que la science, ce que nous essaierons de faire dans un ouvrage spécial auquel nous travaillons depuis plus de vingt ans. E.-A. Carrière
Book  (1872)  Page(s) 156.  
 
Descriptive Notes of Species & Varieties.
C. Viticella venosa (Hort.). — In this beautiful Clematis, which is of free growth and of moderate vigour, the stems are slender and branching, and the leaves pinnately parted, while the leaflets, especially the lower pair, are ternate.  The flower-buds are erect, of a brownish-purple, and expand into full round handsome flowers, measuring from four to five inches across, and composed of five or six roundish ovate sepals; the colour is a pleasing tint of reddish-purple, paler towards the base of the sepals, in the centre of each of which is a five-veined bar more distinctly tinted with red, the entire surface being elegantly veined with crimson; while the central tuft of stamens, with white filaments and dark purple anthers, stands out in bold relief.  It is remarkably free, bearing a long succession of flowers, and is altogether one of the most ornamental of the many kinds now in cultivation.  An excellent coloured figure is given in Henderson's Illustrated Bouquet (ii., t. 39); and it is also figured, less happily, in the Flore des Serres (xiii., t. 1364), where we learn concerning its history, that it was raised about 1855, either by M. Krampen, of Rosskothen, in Germany, or by M. Wilke, of Arnhem, in the Netherlands, the reputed parents being Clematis patens and Atragene alpina- a somewhat doubtful origin.
Magazine  (1 Jul 1869)  Page(s) 241-242.  
 
 Nous avons reçu de M. Krelage, horticulteur à Haarlem, une lettre relative à l’origine du Clematis viticella venosa dont
il a été parlé dans un des derniers numéros de la Revue (1869, p. 209); nous la publions avec d’autant plus de plaisir que cette origine est peu ou même n’est pas connue en France.
Voici cette lettre :
Haarlem, 9 juin 1869
Mon cher Monsieur Carrière,
Dans un article de mon ami M. Ed. André, sur les "Clématites ornementales" (Revue hort, 1869, p. 209), que je viens de lire avec plaisir, il esi question de l’origine de la Clematis viticella venosa, comme douteuse. Je prends la liberté de vous écrire pour réclamer le droit de sa paternité pour mon compatriote M. Welke, d’Arnheim.
Dans le journal hollandais, Flora en Pomona (Utrecht. année 1858), on trouve à la page 1 une notice sur cette Clématite accompagnée d’une planche coloriée, qui, pourtant, ne donne qu’une très- faible idée de la beauté de la plante. Voici ce que M. H.-J. Welke remarque au sujet de l’origine ;
« En 1850, j’avais en fleur plusieurs sortes d'Atragènes et de Clématites que je multipliais artificiellement réciproquement: des graines qui en résultaient j’obtins quantité de semis ; l’hybride dont il est question provient, selon mes notes, de l'Atragenea japonica fécondé par la Clematis cirrhosa; elle fleurissait pour la première fois en 1853 et se faisait toujours remarquer par ses bonnes qualités qu’elle n’a pas perdues jusqu’ici."
Cette Clématite a été mise dans le commerce par M. Welke en mai 1858, à raison de 5 florins de Hallande de pièce.
Une belle planche coloriée de la Clematis viticella venosa se trouve dans l'Illustrated bouquet (vol. II, pl. XXXIX), publié par MM. Eg. Henderson at Son, de Londres. Dans la description qui accompagne la planche, on ne dit rien sur l’origine de la plante, on la nomme seulement : "A most recently introduced Kind." La planche de la Flore des serres (vol. XIII, p. 137) est prise d’après un individu dont le développement était moins parfait que celui qui a été le modèle de la reproduction de l'lllustrated bouquet. Les notices qui sont données par M. Van Houtte sur l’origine de la plante, et qui sont relevées par M. André, dans l’article cité, sont incorrectes. Je ne puis dans ce moment en trouver la source, mais ce qui a été dit suffira pour reconnaître en M. Welke l’obtenteur de la plante.
Agréez, etc. J. -H. Krelage.
Nous nous empressons de remercier M. Krelage de son intéressante communication dont nos lecteurs sans aucun doute seront très-satisfaits. C’est en agissant ainsi qu’il l’a fait qu’on sert la science et l’histoire, tout en rendant aux hommes qui s’en occupent la part qui leur revient.
Magazine  (Jul 1868)  Page(s) 208.  
 
Le Viticella venosa est une somptueuse variété à trèsgrandes fleurs, comme dans les païens ou cœrulea, espèces du Japon (6 à 7 cent, de diamètre), mais plus riche de coloris; elles sont d'un beau violet velouté nuancé bleu et lilas, avec un réseau très-prononcé de veines plus foncées. C'est une plante très-florifère; les treillages qu'elle garnit sont littéralement cachés sous ses fleurs. —On a dit, je crois, que c'était un hybride de Clematis patens et de Viticella. J'en suis fâché pour l'obtenteur, mais cette plante était déjà connue au jardin des Plantes de Paris du temps de Vaillant, il y aura bientôt 200 ans; j'en ai trouvé des échantillons dans son herbier, et il est inutile de rappeler qu'à cette époque le Clematis patens ou autre à grande fleur, n'était pas introduit du Japon dans les cultures européennes. C'est donc une simple variété accidentelle, comme la plupart des hybrides de beaucoup d'horticulteurs.
Magazine  (7 Sep 1867)  Page(s) 926.  
 
"Climbing Plants" by William Paul.
...The following are amongst the best of climbing plants, selected for the rapidity of their growth or the beauty of their flowers: they lose their leaves on the approach of winter:
Clematis Viticella venosa. — Flowers reddish-purple, striped, very handsome.
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