'Alba plena' rose References
Book (1936) Page(s) 8. Alba plena (pimpinellifolia) Freundlich 1861; pure white, small, double, globular, very floriferous, climbing Habit, 2 m, = Blanche double. Sangerhausen
Book (1906) Page(s) 7. 437. Alba plena, Pimprenelle, Freundlich 1861 blanc pur
Book (1902) Page(s) 150. Race des Rosiers Pimprenelle 5629. pimpinellifolia, var. albo pleno.
Magazine (Feb 1862) Page(s) 49, pl. 352. Includes photo(s). Rosa pimpinellifolia L. Varietäten mit gefüllten Blumen. (Siehe Taf. 352) Als Abarten mit gefüllten Blumen waren bis jetzt nur wenige Formen bekannt, nämlich eine weisse und eine rosaroth blühende Sorte. Herr Freundlich, Hofgärtner in Zarskoë-Selo, der die dortigen Baumschulen unter sich hat, machte schon vor längerer Zeit von diesen beiden älteren Sorten Aussaaten und erhielt daraus eine grosse Mannigfaltigkeit schöner neuer Sorten, die theils durch grössere, dichter gefüllte Blumen, theils durch mannigfache Färbung derselben sich auszeichnen. Ein kleines Bouquet einiger dieser Rosen gibt unsere beistehende Tafel wieder. Wir beschreiben von den zahlreichen Spielarten, die Herr Freundlich gewonnen hat, nachstehend die folgenden: 3) Alba plena. Blumen reinweiss, locker gefüllt.
Translation: Rosa pimpinellifolia L. Varieties with full flowers. (See Plate 352) Until recently, there were only a few varieties [of the pimpinellifolia] with full flowers that were well-known, namely a white and a rose-red sort. Herr Freundlich, court gardener of the nurseries in Zarskoë-Selo, made crosses of these two older varieties for a long time, and obtained from them a good number of beautiful new varieties, most of them having larger and fuller flowers and featuring a wider assortment of colors. A small bouquet of some of these roses is illustrated in the accompanying plate. Of the many varieties that Herr Freundlich has obtained, we describe the following: 3) Alba plena. The pure white flowers are loosely filled.
Magazine (1862) Page(s) 194. Includes photo(s). NOTE SUR LA ROSE PIMPRENELLE A FLEUR DOUBLE. Rosa pimpinellifolia L. var. flore pleno. ROSACÉES. D'après le Gartenflora.
R. pimpinellifolia L. spec. p. 703 et R. spinosissima L. - R. pimpinellifolia D. C. Prodr., II, 608. LEDB. fl. ross., II, p. 73. Sous-arbrisseau à tige courte et très-ramifiée, munie d'aiguillons aciculaires droits, très-rapprochés sur les jeunes rameaux. Les feuilles pinnatiséquées portent 5-9 petites folioles rondes ou elliptiques, uni- ou bidentées. Sépales indivis, de moitié aussi longs que les pétales. Pédoncules et ovaires tantôt glabres, tantôt garnis de poils glanduleux. Fleurs solitaires, terminales, roses ou blanches. Fruit presque sphérique, sondé an calice persistant. Patrie la Sibérie. On ne connaissait, jusqu'à présent, des roses pimprenelles, que les espèces à fleurs blanches et rouges. M. Freundlich, jardinier de la cour à Zarskoë-Selo, qui a, depuis longtemps, fait des semis de ces deux anciennes variétés, en a obtenu un grand nombre de nouvelles, qui se distinguent soit par la grosseur de leurs fleurs doubles, soit par la variété de leur coloris. De ces gains, les plus remarquables sont surtout les suivants : 3. Alba plena. Fleurs d'un blanc pur, assez pleines. ...Toutes ces roses pimprenelles à fleurs doubles n'exigent qu'une culture ordinaire. Originaires des régions les plus froides de la Sibérie, elles peuvent passer l'hiver, dans les climats les plus rudes, sans réclamer d'abri, et ne gèlent jamais. Tous les sols qui ne sont pas trop humides, leur conviennent également bien. A l'époque de la floraison, elles forment des buissons hauts de 2-3 pieds et couverts de petites fleurs, aux formes les plus gracieuses et dont l'odeur est faible, mais très-agréable. Malheureusement! elles passent bien vite; elles ne fleurissent que pendant 2 ou 3 semaines. On les multiplie facilement des jets qu'elles donnent en automne ou dans les premiers jours du printemps; et si les buissons deviennent disgracieux, on les rajcunit en coupant, près du sol, une partie des vieilles tiges. G. BARLET.
Magazine (1862) Page(s) 194-195. Includes photo(s). On ne connaissait, jusqu’à présent, des roses pimprenelles, que les espèces à fleurs blanches et rouges. M. Freundlich, jardinier de la cour à Zarskoë-Selo, qui a, depuis longtemps, fait des semis de ces deux anciennes variétés, en a obtenu un grand nombre de nouvelles, qui se distinguent soit par la grosseur de leurs fleurs doubles, soit par la variété de leur coloris. De ces gains, les plus remarquables sont surtout les suivants : 1. Hofgärtner Freundlich. Fleurs bien pleines, d’un carmin vif. 2. Carnea hispida. Pédoncule glanduleux. Fleurs presque doubles, d’un blanc rosé. 3. Alba plena. Fleurs d’un blanc pur, assez pleines. 4. Kermesina. Fleurs doubles, d’un carmin foncé, un peu plus clair au fond. 5. Hispida bicolor. Pédoncule glanduleux. Fleurs à moitié pleines, d’un rose foncé et bordées de blanc. 6. Rosea pulchella. Fleurs d’un rose vif, à moitié pleines. 7. Rosea grandiflora. Grandes fleurs roses, doubles. 8. Rosea multiflora. Fleurs à moitié pleines, d’un rose pâle nuancé de blanc; espèce trés-florifère. 9. Belle de Zarskoë. Fleurs, légèrement pleines, de la couleur des fleurs de pêcher et bordées de blanc. 10. Carnea maxima. Grandes fleurs bien pleines, couleur de chair päle, avec un reflet rose. 11. Carnea multiflora. Semblable à la précédente, mais à fleurs plus petites et plus nombreuses. Toutes ces roses pimprenelles à fleurs doubles n’exigent qu’une culture ordinaire. Originaires des régions les plus froides de la Sibérie, elles peuvent passer l'hiver, dans les climats les plus rudes, sans réclamer d’abri, et ne gélent jamais. Tous les sols qui ne sont pas trop humides, leur conviennent également bien. À l’époque de la floraison, elles forment des buissons hauts de 2-5 pieds et couverts de petites fleurs, aux formes les plus gracicuses et dont l’odeur est faible, mais très-agréable. Malheureusement! elles passent bien vite; elles ne fleurissent que pendant 2 ou 3 semaines. On les multiplie facilement des jets qu’elles donnent en automne ou dans les premiers jours du printemps; et si les buissons deviennent disgracieux, on les rajeunit en coupant, près du sol, une partie des vieilles tiges. G. BARLET.
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