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Roses, Clematis and Peonies
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Bulletin de la Société d'Agriculture, Sciences et Arts de la Sarthe
(1851)  Page(s) 374.  
 
Bengales...Marquis d'Ailsa. Dr. Marx.
(1851)  Page(s) 364.  
 
L'exposition aura lieu sous la halle aux toiles de la ville du Mans et sera ouverte gratuitement au public, le dimanche 31 août et les 1er et 2 septembre, depuis midi jusqu'à 7 heures du soir...
M. Vindrin, Horticulteur-fleuriste et pépiniériste à la Bazoge. Roses coupés: Perpétuelles...Rose Génie de Chateaubriand
(2014)  Page(s) 374.  
 
Bengales.... Marquise Boccella.
(1851)  Page(s) 374.  
 
Bengales...Marquis d'Ailsa. Dr. Marx.
(1900)  Page(s) 245-250.  
 
Nouvelle note au sujet de Rosa Macrantha Desp. Réponse a M. Hy. Par M. Gentil, membre titulaire....Le Mans, 10 janvier 1900.
[open letter by Ambroise Gentil questioning the findings of Abbé Hy of R. macrantha in the Herse forest and the attribution to R. gallica]
(1900)  Page(s) 251-252.  
 
Troisième note au sujet du Rosa Macrantha Desp. Erreur de M. Hy. Par M. Gentil, membre titulaire
...il suffit de l'examiner avec quelque attention pour constater la méprise de M. Hy. Son Rosa, qui lui "paraît le vrai R. macrantha Desp.", n'est autre chose que la forme décrite par l'auteur de la Flore du centre sous le nom de R. Friedlanderiana, comme on peu s'en assurer en consultant l'herbier Boreau.
C'est arbrisseau d'ailleurs, existe encore dans le roseraie du jardin botanique d'Angers, où j'ai le plaisir de le reconnaître en 1898. J'en possède plusieurs échantillons. Considérés par M. Crépin comme identiques à celui qui'il reçut jadis de Boreau lui-même, ils sont également conformes à ceux de son herbier et, vous pouvez en juger de visu, non moins semblables aux échantillons distribués par M. Hy. ....Le Mans, 11 avril 1900.
(1900)  Page(s) 397-399.  
 
Quatrième note au sujet du Rosa Macrantha Desp. Explications fantaisistes de M. Hy. Par M. Gentil, membre titulaire
Depuis ma troisième note au sujet du Rosa macrantha Desp. et après l'article de M. Rouy dans le tome VI de la Flore de France, établissant également que la forme distribuée par M. Hy, d'Angers, est différente de la rose trouvée jadis à La Flèche par Lemeunier, on pouvait penser que la discussion serait closeet l'affaire classée.
...mon tenace adversaire vient d'engager , dans le Bulletin de la Société franco-helvétique,...une reprise d' hostilités...
Il semble pourtant que l'opinion de savant auteur de la Flore de France mérite d'être prise en considération. Or, il indique positivement, p. 270, que le R. macrantha Hy n'est pas le R. macrantha Desp. - Par conséquent, l'histoire merveilleuse racontée dans le Bulletin de la Société franco-helvétique est celle d'une forme distincte du R. macrantha Desp., qui finalement n'existe pas aux environs d'Angers. ....Le Mans, 14 novembre 1900.
 
(1911)  Page(s) 127.  
 
L'herbier de Desportes...fut acquis par Manceau, professeur au collège de Sainte-Croix, qui le revendit à Franchet. Celui-ci le distribua, partie dans l'herbier du muséum de Paris, auquel il été attaché, partie dans celui de M. Drake Del Castillo, dont il avait le soin. Il contenait, entre autres, quatre spécimens de son Rosa macrantha, provennat de Martigné, dont deux sont au muséum et deux dans l'herbier Drake Del Castillo....
(1927)  Page(s) 191-192.  
 
En 1823, Lemeunier avait trouvé aux environs de La Flèche une rose indigène qu'il appela Rosa canina, var. fulgens. Thory, puis Desportes la rebaptisèrent R. canina grandiflora, et Desportes finit par en faire une espèce autonome sous le nom de Rosa macrantha. Dans son Histoire des roses Sarthoises, M. Gentil conclut que cette rose n'était qu'une variété de R. canina, et non point une espèce distincte; qu'elle n'avait jamais été rencontré qu'à La Flèche, d'où elle avait d'ailleurs disparu depuis, si bien qu'il convenait de l'exclure et de la flore Sarthoise, et de la flore de France.
Or, ces observations consistèrent M. l'abbé Hy, botaniste angevin. M. l'abbé Hy considérait la R. macrantha comme un hybride de R. canina et de R. gallica. Il tenait son existence pour prouvée par certain échantillon que recelait, sous le nom, à l'entendre erroné, de R. collina Jacq., l'herbier Trouillard, déposé à la Faculté catholique d'Angers. Cet échantillon provenaît du bois de la Herse, en Sainte-Verge (Deux-Sèvres). M. Hy lui en ayant refusé la communication. M. Gentil sollicita la Société botanique des Deux-Sèvres de rechercher, loco citato, le rosier litigieux. Les botanistes Thouarsais, conduits par le président M. Souche, entrèrent en campagne le 13 juin 1901, escortés de MM. Préaubert, Bouvet et Hy, ce dernier porteur de l'étiquette originale de Trouillard. On battit les buissons sans rien découvrir, en sus des roses banales, qu'un seul pied dans lequel M. Hy reconnut " à quelques très légères différences près, ...la rose de Trouillard ". Or c'était, d'après M. Fouillade, auteur de la trouvaille, la R. collina [Jacq.] ? Bor., hybride peut être de la R. canina, var. obtusifolia Desv. ; signalée au voisinage, et d'une autre rose qui ne pouvait être la gallica, celle-ci n'existant que fort loin de là (1). M. Hy, déçu, ne reparut point, et, comme Candide, rentra cultiver son jardin.
La macrantha que lui avaient refusée les Deux-Sèvres, il la pensa retrouver aux environs d'Angers, en quelques types assez proches quoique, de son propre aveu, non absolument concordants. L'un d'eux, recueilli au chemin des Deux-Croix, et transplanté dans ses plates-bandes, en profita si bien que M. l'abbé Hy n'hésita point à le qualifier de macrantha, et en distribua des parts, sous cette étiquette, à quelques amis et connaissances. Or ces spécimens ressortissaient en réalité à la R. Friedlanderiana de Boreau, bien connue par l'herbier de ce dernier; au reste, encore cultivée au Jardin botanique d'Angers, et possédée par M. Gentil, qui avait fait vérifier la diagnose par Crépin. M. Rouy lui-même n'hésita point à distinguer, dans sa Flore de France, la véritable R. macrantha de Desportes, de celle que M. l'abbé Hy décorait du même nom. Une polémique s'ensuivit qui, d'abord épistolaire, ricocha de 1897 à 1901, du Bulletin de la Société
botanique des Deux-Sèvres aux Bulletins de la Société d'Agriculture, Sciences et Arts de la Sarthe, et aux Mémoires de la Société d'Agriculture, Sciences et Arts d'Angers (2). De quoi il appert, et les spécimens authentiques de la R. macrantha de Desportes, conservés dans les herbiers Boreau et Drake del Castillo le confirment, que cette forme, instable comme tous les hybrides, a bel et bien disparu, et que M. Hy l'avait, à tort, ressusciter Ainsi, M. l'abbé Hy éprouva-t-il que les roses ont des épines, et même dans le type macrantha.

(1) A. FOUILLADE, A la recherche du Rosa macrantha Desp., Extr. du Bull, de la Société botanique des Deux-Sèvres, 1901, s. 1. n. d., 7 p. in-8.
(2) HY, Sur les relations de confraternité scientifique, mém. de la Soc. nationale d'Agric., Se et Arts d'Angers, S" s., i. II, 1899, p. 39-47.
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