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Primitiae monographiae rosarum
(1876)  Page(s) fasc. 4, p. 394.  
 
Rosa blanda Ait. Hort. Kew., ed. 1, II, p. 202...
Var. αpubescens (R. blanda Lindl. non Ait., R. Solandri Trait.). Folioles plus ou moins pubescentes en dessous; tige inerme dans sa partie supérieure; branches et ramuscules florifères inermes ou presque inermes
 
(1876)  Page(s) fasc. 4, p. 394.  
 
Rosa blanda Ait. Hort. Kew., ed. 1, II, p. 202...

Var.γsetigera. Folioles glabres ou pubescentes en dessous; tige ne dépassant pas ord. 3 décimètres, entièrement chargée d'aiguillons

(1876)  Page(s) fasc. 4, p. 410-413.  
 
Rosa californica Cham. et Schlecht. Linnaea, t. 11, p. 35) ; Meyer Ueber die Zimmtrosen, p. 18 (Mém. Acad. imp. des Sciences de St-Pétersb,, 6e sér., t. VI).
Arbrisseau-. Arbrisseau de grandeur variable, pouvant ètre petit et délicat ou robuste et atteindre jusque deux mètres.
Tiges. Tiges grêles ou robustes, aiguillonnées, à aiguillons géminés, tantôt très-robustes et crochus, à base épaissie, tantôt grêles, à pointe plus ou moins arquée rarement presque droite. Branches à aiguillons semblables à ceux des tiges, robustes ou grêles, à entreuœuds chargés d'aiguillons sétacés épars ou de sélules glandulifères.
Ramuscules florifères. Ramuscules florifères très-longs, de longueur moyenne ou courts, aiguillonnés, à aiguillons géminés, ceux-ci très-rarement accompagnés d'aiguillons sétacés épars ou de sétules glandulifères ou de glandes.
Feuilles. Feuilles 3-7-foliolées. Stipules courtes, glanduleuses ou églanduleuses en dessous, glabres, pubescentes ou tomenteuses en dessous, à bords finement ciliés-glanduleux, à ailes étroites, à oreillettes divergentes; les stipules supérieures des ramuscules florifères parfois à ailes un peu élargies, à oreillettes plus larges. Pétioles glanduleux ou églanduleux, glabres, pubescents ou tomenteux, aiguillonnés ou inermes. Folioles largement ovales, ovales-arrondies, suborbiculaires ou elliptiques, arrondies, subcordées, atténuées-arrondies ou plus ou moins atténuées à la base, brièvement aiguës, subobtuses, obtuses ou aiguës au sommet, un peu glanduleuses ou églanduleuses, glabres ou pubescentes à la face supérieure, glanduleuses ou églanduleuses, glabres, pubescentes ou tomenteuses à la face inférieure, à dents simples à bords églanduleux ou glanduleux, ou à dents tiès composées-glanduleuses.
Inflorescence. Fleurs ord. en corymbe plus ou moins multiflore, plusarement solitaires. Bractees glanduleuses ou églanduleuses, glabres, pubescentes ou tomenteuses en dessous, étroites ou peu dilatées, dépassant ou égalant les pédicelles ou plus courtes que ceux-ci. Pèdicelles courts ou longs, lisses, glabres ou un peu velus, églanduleux ou chargés de fines glandes peu nombreuses, Réceptacle florifère ord. très petit, ovoïde, arrondi ou ellipsoïde, arrondi à la base ou un peu atténué, ord. étranglé au sommet, lisse. Sépales entiers, étroits, terminés par une pointe plus ou moins longue un peu dilatée au sommet, tomenteux à la face interne et sur les bords, velus, églanduleux ou un peu glanduleux sur le dos, se redressant après l'anthèse. Corolle petite, à pétales probablemenl ord. d'un rose pâle, assez étroits, un peu échancrés au sommet, égalant ou dépassant un peu les sépales extérieurs. Capitule stigmatique assez petit et velu. Réceptacle fructifère petit, ne dépassant guère le volume d'un gros pois, arrondi, étranglé au sommet, sphérique ou ovoïde, couronné par les sépales connivents et persistants.
Floraison ....?
Aire de dispersion. Californie (Coll. Douglas, 1833; Lobb, 1837; Bridges, 1837; Hartweg, 1848; Wislizenius, 1851; J. Remy, 1855; Coulter, Beechey) — San Francisco (Coll. Chamisso, Hinds, Barclay). — Vallée du Sacramento (Coll. Hartweg). — Santa Clara (Coll. Sinclair).

En lisant la description qui précède, on peut déjà soupçonner qu'on a affaire à un type spécifique très-polymorphe. C'est bien, en effet, une espèce très-variable et dont les pécimens recueillis par les voyageurs peuvent, par leur diversité, faire croire à l'existence de plusieurs espèces.Moi-même, lorsque j'étudiai pour la première fois ce type sur deux échantillons conservés dans l'herbier royal de Berlin et dans l'herbier de von Martius, je crus reconnaître dans ceux-ci deux espèces inédites et distinctes de la forme décrite par Chamisso et von Schlechtendal sous le nom de R. californica. J'appliquai à l'échantillon accompagné de l'étiquette : « 63. Californien, Bridges » (in Herb. Berol.) le nom de R. Aschersoniana et à celui accompagné de l'étiquette : « In valle Sacramento Calif. Hartweg,n° 1717 » le nom de R. Hartwegiana. Les caractères présentés par ces deux spécimens ne correspondaient pas à la description originale du R. californica. Bien plus, un troisième échantillon conservé dans l'herbier royal de Berlin et que je crois pouvoir aujourd'hui rapporter au R. californica, avait été étiquette par moi R. Bridgesii. Ce spécimen est accompagné de l'étiquette : « 62. Californien. Bridges». M. Decaisne, à son tour, a cru trouver une espèce nouvelle dans une forme glabre du R. californica élevée de graines au Jardin des plantes de Paris, forme qu'il a fait étiqueter sous le nom de R. myriantha.
C.-A. Meyer (loc. cit., p. 18 et 19) décrit deux variétés du R californica dans les termes suivants :
α. Chamissoniana : foliolis supra pubescentibus subtus villosis simpliciter serratis vel subbiserratis, serraturis secundariis glandula terminatis. — R. californica Cham. et Sclilecht. — In California prope San Francisco legit cel. Chamisso.
β. Petersiana : foliolis supra glabris subtus pubescentibus duplicato serratis, serraturis secundariis glandula terminatis. — In California versus San Francisco Iegit Dr Peters.
 
(1876)  Page(s) fasc. 4, p. 413-415.  
 
Rosa californica (cont'd)
D'après les descriptions de cet auteur, la var. α ne présente sur ses axes que des aiguillons géminés droits ou plus souvent un peu incurvés et les folioles ont de rares glandes cachées dans la pubescence de leur face inférieure; la var. β présente deux sortes d'aiguillons, les uns géminés robustes, souvent légèrement incurvés, les autres épars plus petits et plus grêles et droits, et les folioles sont abondamment glanduleuses à leur face inférieure. Il me serait facile denrichir ce type de plusieurs variétés nouvelles, car presque tous les échantillons que j'ai examinés sont différents les uns des autres sous le rapport de la pubescence et de la glandulosité des divers organes, de la forme des folioles et des aiguillons, mais je me contenterai provisoirement de distinguer trois groupes de formes établis sur l'état des folioles et que je désignerai sous le nom de variétés.
α. glabra. Folioles glabres sur les deux faces et églauduleuses, à dents simples (incl. R. myriantha Decaisne).
β. pubescens. Folioles plus ou moins pubescentes ou velues -tomenteuses sur les deux faces, ord. glanduleuses en dessous, à dents simples ou presque simples (incl. var. Chamissoniana C.-A. Mey., R. californica Cham. et Schlecht., R. Hartwegiana Crép. olim, R. Bridgesii Crép. olim).
γ. glandulosa. Folioles glabres ou presque glabres, très-glanduleuses en dessous, parfois glanduleuses eu dessus, à dents simples ou composées-glanduleuses (incl. var. Petersiana C.-A. Mey., R. Aschersoniana Crép. olim).
Chacune de ces trois variétés, qui sont, je le répète, plutôt des groupes de formes basés sur l'aspect des deux faces des folioles et sur leur dentelure, devront être démembrées plus tard, quand on connaîtra mieux les limites de l'espèce. J'ai tout lieu de croire que celle-ci offre une série de formes plus ou moins parallèles à celles de notre R. canina de l'ancien monde, formes qui seront vraisemblablement tôt ou tard élevées au rang d'espèces par les botanistes de la nouvelle école. Les modifications que subit ce type californien sont assez importantes pour que je passe en revue celles que j'ai pu observer jusqu'à présent.
La forme que j'avais désignée sous le nom de R. Hartwegiana et représentée dans l'herbier de von Martius par un grand échantillon florifère (n^ 1717. Coll. Hartweg), se dislingue : 1o par ses folioles assez grandes (12-19 mill. de largeur sur 17-50 mill. de longueur), rapprochées, se recouvrant assez largement par les bords, largement ovales, légèrement cordées à la base, sessiles, s'atténuant à partir de la moitié supérieure et aiguës ; 2° par ses pédicelles très-courts (5-6 mill.). Ce même n° 1717 de Hartweg est représcnlé dans l'herbier du Muséum de Paris par une autre forme.
La forme (|ue j'avais désignée sous le nom de R. Aschersoniana et représentée dans l'herbier royal de Berlin par un grand échantillon llorifère (no 63. Coll. Bridges), se distingue : 1° par ses folioles grandes (12-24 mill. de larg. sur 17-54 mill. de long.), assez largement écartées, ne se recouvrant pas par les bords, largement ovales presque suborbicillaires, les lerminales ayant une tendance à devenir cordées, les folioles des feuilles inférieures un tiers plus longues que larges, subobtuses au sommet, celles des feuilles moyennes et supérieures très-brusquement aiguës, presque subobtuses; 2° par ses pédicelles longs (15-20 mill.).
Une forme recueillie par le Dr A. Wislizenius (herb. Crép.) présente des folioles (qui sont pubescentes sur les deux faces et à dents simples) allongées, ovales-elliptiques, un peu atténuées à la base, aiguës au sommet.
Une quatrième forme recueillie par le Dr Coulter (herb. Kew.) se distingue : 1° par ses aiguillons géminés accompagnes de nombreuses sétules glandulifères ; 2o par ses folioles (qui sont très-glanduleuses en dessous et à dénts composées-glanduleuses) assez allongées; 3o par ses pédicelles et ses sépales très-pubescents.
(1876)  Page(s) fasc. 4, p. 415-418.  
 
Rosa californica (Cont'd)
La forme que j'avais désignée sous le nom de R Bridgesii et qui se trouve dans les herbiers de Kew et de Berlin (no 62. Coll. Bridges), m'avait paru bien distincte du R. califonica et ce n'est qu'après avoir constaté l'extrême variabilité de ce dernier que j'ai cru devoir la comprendre dans sa variété pubescens. Elle est représentée par des branches délicates qui ont probablement été recueillies sur des buissons chétifs, dont la végétation a été lente. C'est sans doute ce qui a fait que les fleurs, portées sur de très-courts ramuscules, sont solitaires. Les folioles (qui sont écartées ou plus ou moins rapprocbées et se recouvrant par les bords, un peu pubescentes en dessus, mais paraissant glabres à l'œil nu, un peu pubescentes et glanduleuses en dessous, à dents composées-glanduleuses) sont petites, ord. suborbiculaires, à peu près aussi larges que longues, toutes obtuses au sommet et assez souvent un peu tronquées à la base ou largement arrondies. J'ai vu dans l'herbier Durand une feuille glissée dans la chemise du R. gymnocarpa portant des échantillons florifères d'une forme qu'on peut rapporter au R. Bridgesii; seulement les folioles, également petites, sont souvent plus ou moins atténuées à la hase. Cette feuille portait les mots suivants, écrits au crayon : « S. Nevada. H. Pratten », ce qui semble dénoter que le R. californica s'éloigne assez bien des environs de San Francisco et de la vallée du Sacramento. Une forme voisine de celle de la Sierra Nevada, recueillie par Lobb on 1837 en Californie et distribuée sous le n° 521 (herb. Kew.), a les foliolos obovales.
Un échantillon conservé dans l'herbier de Kew, accompagné de l'étiquette :« California. Hartweg. 1716, » et qui appartient à une forme en quelque sorte intermédiaire entre les variétés pubesœns et glaiidulosa, est composé d'une tige ou d'une branche avec entrenœuds chargés d'aiguillons séiacés épars et terminée par un ramuscule florifère dont les entrenœuds inférieurs portent également des aiguillons sétacés épars. Il est donc probable que le R. californica, de même que la plupart des Cinnamomeae, peut avoir des aiguillons sétacés épars associés avec les aiguillons géminés.
Le R. californica est un type bien distinct des autres Cinnamomeae d'Amérique et qu'on ne peut jamais confondre avec les R. aleutensis, R. nutkana et R. Durandii, pas plus qu'avec aucune autre espèce américaine. Les aiguillons des axes robustes sont épais et crochus comme ceux du R. canina ; sur les axes délicats, ils deviennent grêles, mais leur pointe reste ord. plus ou moins arquée et dénote le type crochu.
L'un des caractères distinctifs de cette espèce, c'est la petitesse de sa corolle et de son réceptacle florifère combinée avec une inflorescence ord. multiflore. Celle-ci peut présenter jusqu'à quarante fleurs. Ces diverses particularités font penser au R. Befjgeriana, qui lui aussi offre des corymbes très-multiflores, avec des fleurs petites Ce trait de ressemblance du R. californica avec le R. Beggeriana n'est pas le seul, car dans le premier comme dans le second, j'ai cru remarquer que souvent les axes foliifères se couronnent par des fleurs en corymbe multiflore et produisant ainsi des ramuscules florifères anomaux dont la longueur peut dépasser 5 décimètres. Dans ces ramuscules, ainsi que je l'ai fait remarquer pour le R. Beggeriana, les stipules supérieures, au lieu de se dilater plus ou moins, comme c'est le cas dans les ramuscules florifères normaux, restent ord. étroites et semblables aux stipules des vrais ramuscules foliifères ; de plus, dans ces longs ramuscules, les bractées sont étroites au lieu d'être plus ou moins dilatées, comme dans les ramuscules florifères normaux.
Remarquons en outre que ie R. Beggeriana offre des variétés exactement parallèles à celles du R. californica. Il resterait maintenant à s'assurer si le R. californica a bien réellement des sépales persistants, comme je le marque dans la description. Dans une observation que jai faite sur des écliantillons fructifères conservés dans l'herbier de Kew et recueillis par M. Hinds à San Francisco en 1841, je dis que les sépales persistenl et sont relevés-dressés sur les fruits mùrs, mais que j'ai tout lieu de croire qu'ils finissent par tomber. Cependant, sur de beaux échantillons en fruits provenant de pieds cultivés et conservés dans l'herbier du Muséum de Paris (R. myriantha Decaisne) , les sépales paraissent bien n'être pas caducs. Il y a donc là un point à élucider avec le plus grand soin.
Si les sépales sont à la (îii caducs, il faudra ranger le R. californica dans les Microcarpae, section représentée dans l'ancien monde par les R. Beggeriana et R. anserinaefolia. Il est à remarf|uer que le R. Beggeriana traverse toute l'Asie et s'étend à l'est jusque dans la Mandschourie. Si les sépales sont bien persistants dans le R. californica, on peut encore dire que ce type a les plus grands rapports avec les R. Beggeriana et R. anserinaefolia, types qu'il représente en quelque sorte sur le continent américain.
(1876)  Page(s) fasc. 4, p. 459.  
 
Rosa virglniana Du Roi. — Est considéré comme un synonyme du R. carolina L.
(1872)  Page(s) fasc. 2, p. 61-62.  
 
Révision des Roses de l'Herbier de Willdenow...

N° 9834. — Rosa caroIina germinibus globosis hispidis, pedunculis subhispidis , caule aculeis stipularibus, petiolis aculeatis. Lin. Syst., ed. R., p. 527. — Habitat in America septentrionali.

Au verso du premier feuillet de la chemise, on lit : « Krausse. W. » Ce numéro est représenté par six feuilles simples. Fol. 1). Un ramuseule florifère. — Appartient au R. carolina L. Sépales extérieurs entiers ou munis de 1-2 pinnules très-petites et supérieures ; réceptacle hispideglanduleux.
Fol. 2). Un ramuseule florifère. — Appartient au R. lucida Ehrh. Fleurs simples.
Fol. 3). Un ramuseule florifère. — Wallroth a écrit à côté : «.. ad R. majalem potius pertinet. » Appartient la à forme que Willdenow a décrite sous le nom de R. gemella
Fol. 4). Un rameau florifère. Au bas de la feuille, se trouve fixée une étiquette de Willdenow portant : R. pennsylvanica. » — Je n'ose me prononcer sur cet échantillon qui appartient peut-être au R. parviflora Ehrh. Il présente six fleurs disposées en corymbe, mais ce nombre de fleurs est probablement anomal ; les pédicelles sont lisses ainsi que les réceptacles; les sépales sont un peu glanduleux sur le dos. Dans son Species plantarum , Willdenow rapporte le R. pennsylvanica Wangenh. au R. parviflora Ehrh.
Fol. 5). Un ramuscule florifère, accompagné d'une petite étiquette portant : « Kien. 166.» — C'est une forme à fleurs semi-pleines, et au nombre de quatre au sommet du ramuscule. Aiguillons géminés, grêles et droits; folioles simplement dentées, rappelant celles du R. lucida, mais paraissant avoir été peu au point luisantes, quelques-unes munies de quelques poils en dessus, toutes à face inférieure entièrement velue ; pétioles un peu velus, inermes ou un peu aiguillonnés ; réceptacle florifère campanulé, ordinairement très-hispide-glanduleux ; pédicelles assez abondamment hispides-glanduleux ; sépales extérieurs munis d'une paire de pinnules. Corolle large de 35 mill. Semble se rapprocher du R. Rapa tel que le décrit Lindley, mais dans le R Rapa de cet auteur les folioles sont glabres.
Fol. 6). Un ramuscule florifère, accompagné d'une petite étiquette portant : « 490 (Mühlenberg misit.). » — Appartient au R. carolina L.

(1876)  Page(s) fasc. 4, p. 459.  
 
Rosa evratina Bosc. — Cette espèce indiquée dans la Caroline m'est inconnue.
(1876)  Page(s) fasc. 4, p. 458.  
 
Rosa fraxinifolia Borkh. non Gmel. — La forme décrite sous ce nom par Borkhausen est une variété du R. alpina et n'existe pas en Amérique. La plante que Hooker et Torrey ont signalée dans la région occidentale de l'Amérique est le R. nutkana Presl.
(1872)  Page(s) fasc. 2, p. 60-61.  
 
 Révision des Roses de l'Herbier de Willdenow...
N° 9818. - Rosa blanda (contn'd)....
 Il resterait à rechercher si le R. fraxinifolia Gmel. est une espèce autonome, ou si ce n'est pas une simple variété d'un type américain produite par une longue culture en Europe. Jusqu'à présent, l'existence en Amérique du vrai R. fraxinifolia Gmel., tel que nous le connaissons en Europe, est restée douteuse. En étudiant les nombreuses formes du R. Solandri Tratt. (R. blanda Auct. non Jacq.), l'idée m'est venue que le R. fraxinifolia pourrait bien être une variété de ce dernier. Avant de me prononcer sur cette délicate question, j'ai de nouvelles recherches à faire. Si mon soupçon était fondé, on s'expliquerait facilement comment le R. fraxinifolia a été vainenement recherché en Amérique, et le nom de blanda, créé par Jacquin en 1764, resterait définitivement appliqué à l'espèce américaine qui est généralement connue sous ce nom et que Trattinnick a proposé d'appeler R. Solandri.
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