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Bulletin de la Société nationale d'acclimatation et de protection de la nature de France
(1909)  Page(s) 402.  
 
Rêve d'or (noisette); Marie van Houtte (thé); Turner's Crimson Rambler (sujet de quinze ans, et troncs énormes); Renée Barbier (hybride de Wichuraiana); Fée Opale (hybride de Noisette), et bien d'autres donnés comme peu robustes.
(1910)  Page(s) 122.  
 
Visite au Domaine des Barres. École forestière et Fruticetum de M. Maurice de Vilmorin. 
Les membres de la Société nationale d'acclimatation ont fait le 21 juin 1909 un très intéressante excursion au domaine des Barres...
Rosiers intéressantes (R. foliolosa, R. hybride de rugosa et duc d'Édimbourg, R. polyantha double, R. macrophylla, etc.)
(1910)  Page(s) 122.  
 
Visite au Domaine des Barres. École forestière et Fruticetum de M. Maurice de Vilmorin. 
Les membres de la Société nationale d'acclimatation ont fait le 21 juin 1909 un très intéressante excursion au domaine des Barres...
Rosiers intéressantes (R. foliolosaR. hybride de rugosa et duc d'Édimbourg, R. polyantha double, R. macrophylla, etc.)
(1885)  Page(s) 104.  
 
Le Japon produit un certain nombre d'espèces de Rosa, entre autres : Le Rosa multiflora observé par Thunberg (3), par Miquel (4), par Franchet et Savatier (5), Rosa intermedia de Carrière (6) et de Crépin (7); le Phonzo-Zoufou (8) ...
(1874)  Page(s) 250.  
 
Malgré la clarté du texte de Thunberg, le R. multiflora a reçu dans ses dernières années deux nouveaux noms : ceux de R. Wichurae K. Koch et R. intermedia Carr. Depuis que j'ai écrit la description du R. intermedia Carr. dans le 1er fascicule des Primitiae Monographiae Rosarum (1869), j'ai eu l'occasion d'étudier de nombreux matériaux du R. multiflora qui m'ont donné la certitude que les prétendues nouvelles espèces décrites par MM. Koch et Carrière ne sont que de simples formes du R. multiflora. Cette confusion doit être attribuée, d'une part, à la rareté d'échantillons indigènes du R. multiflora dans les herbiers et à l'absence d'une bonne figure de cette espèce, et, d'autre part, à ce que le R. multiflora cultivé dans les jardins est une variété horticole dont l'aspect s'éloigne un peu du type japonais.
(1874)  
 
Par la petitesse de ses fleurs, qui ressemblent à celles d'un Rubus, le R. multiflora se rapproche des R. microcarpa et R. Luciae, mais ses seules stipules profondément fimbriées, la forme de ses folioles et d'autres caractères ne permettent pas de le confondre avec le premier. Du second, il se rapproche davantage, comme on peut le voir par les diagnoses suivantes que j'ai rendues rigoureusement comparatives.
Rosa multiflora. Folioles étroitement obovales, assez longuement atténuées à la base, minces, ordinairement plus ou moins velues à la face inférieure. Stipules pectinées, à laciniures dépassant la largeur de la partie entière de chaque aile. Pédicelles florifères grêles, ordinairement velus. Sépales étroitement ovales ou lancéolés, les trois extérieurs munis de 2-4 appendices latéraux. Colonne stylique grêle, glabre, très-rare ment un peu velue. Réceptacle fructifère très-petit, pisiforme.
Rosa Luciae. Folioles ovales ou ovales-suborbiculaires, arrondies ou brièvement atténuées à la base, plus ou moins épaisses, coriaces, glabres à la face inférieure. Stipules finement denticulécs ou superficiellement pectinées, à laciniures n'égalant pas la largeur de la partie entière de chaque aile. Pédicelles florifères moins grêles, roides, sans villosité. Sépales plus larges, entiers, rarement les extérieurs munis de 1-2 appendices latéraux. Colonne stylique assez épaisse, velue. Réceptacle fructifère plus gros.
Le R. multiflora se distingue encore du R. Luciae : 1° par son inflorescence dont les ramifications affectent une
autre disposition, à fleurs plus nombreuses et souvent fasciculées par trois, à pédicelles moins étalés ; 2° par ses bractées secondaires plus longues ; 3° par ses aiguillons moins régulièrement géminés ; 4° par ses dents foliaires un peu différentes. Je dois cependant faire remarquer qu'il existe des formes, soit du R. multiflora, soit du R. Luciae, assez obscures et qui laissent des doutes dans l'esprit de l'observateur. Ces formes me font soupçonner que ces deux types se croisent parfois entre eux et donnent naissance à des produits hybrides. J'ajouterai enfin que le R. Luciae, à en juger par les échantillons recueillis par M. Savatier, est un type très-variable et dans lequel M. Franchet avait été tout d'abord porté à voir plusieurs espèces distinctes.
Dans le R. multiflora, les folioles sont sujettes à varier. Elles peuvent être assez amples, ou petites ; ordinairement
plus ou moins pubescentes en dessous, leur pubescence peut se réduire à quelques poils sur la nervure médiane, de façon qu'on peut les dire glabres. La pubescence peut disparaître des stipules et des pédicelles ; le réceptacle florifère peut être velu ou glabre. La glandulosité peut être, plus ou moins abondante ou nulle en dessous des stipules, sur les pétioles, les pédicelles et les réceptacles. Les fruits sont très-petits, globuleux ou subglobuleux (larges de 4-5 mill.). Dans le R. Luciae, les fruits peuvent être aussi très-velus-Iaincux, formant au-dessus du disque une colonne épaisse égalant environ les étamines.
(1910)  Page(s) 122.  
 
Visite au Domaine des Barres. École forestière et Fruticetum de M. Maurice de Vilmorin. 
Les membres de la Société nationale d'acclimatation ont fait le 21 juin 1909 un très intéressante excursion au domaine des Barres...
Rosiers intéressantes (R. foliolosaR. hybride de rugosa et duc d'Édimbourg, R. polyantha double, R. macrophylla, etc.)
(1910)  Page(s) 122.  
 
Visite au Domaine des Barres. École forestière et Fruticetum de M. Maurice de Vilmorin. 
Les membres de la Société nationale d'acclimatation ont fait le 21 juin 1909 un très intéressante excursion au domaine des Barres...
Rosiers intéressantes (R. foliolosaR. hybride de rugosa et duc d'ÉdimbourgR. polyantha double, R. macrophylla, etc.)
(1885)  Page(s) 106-107. Series 4, Vol 11..  
 
On observe fréquemment, dans certaines provinces de l'ile de Nippon, le Rosa microphylla Roxb., à grandes et larges fleurs simples, blanches, à onglet jaunâtre, å fruits acides, mangeables, qui croît à l'état sauvage dans les environs du lac d'Hakone. Le Rosa microphylla a plusieurs variétés : une variété å fleurs simples, rouges, que le Phonzo-Zoufou (9) marque sous le nom de Kin ossi. M. le D'Savatier (10) l'a trouvée cultivée à Tokio, dans le jardin d'Oya Kouyen. Une autre variété à fleurs doubles porte le nom de Sansio bara, d'après le Phonzo-Zoufou (1).

(9) Phonzo-Zoufou, vol. LXXXVII, fol. 19, verso.
(1) Phonzo-Zoufou, vol. LXXXVII, fol. 21, recto.


Translation:
Rosa Microphylla has several varieties: a variety with single flowers, pink, that Phonzo-Zoufou marks under the name of "Kin Ossi." Doctor Savatier found it grown in Tokyo, in the garden of Oya Kouyen. Another variety with double flowers bears the name of "Sansio bara," according to Phonzo-Zoufou.
(1885)  
 
Il est cultivé à Segrez avec var. flore albo, ainsi que le Rosa Zuccariniana, qui est le Rosa rugosa var. flore pleno de Siebold.
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