HelpMeFind Roses, Clematis and Peonies
Roses, Clematis and Peonies
and everything gardening related.
DescriptionPhotosLineageAwardsReferencesMember RatingsMember CommentsMember JournalsCuttingsGardensBuy From 
'Rose Boursault' rose References
Magazine  (Jan 2024)  Page(s) 23.  
 
[From "Roses named after famous women: Madame de Sancy de Parabère (Bonnet, France, 1874?)", pp. 23-25, by Roger Willeghems]

... Boursault roses were considered as hybrids of Rosa pendulina (syn.: Rosa alpina) x a China rose. DNA analyses confirm this assumption of hybrids, but not of Rosa pendulina, but rather of Rosa blanda.....
Book  (2001)  Page(s) 88.  
 
...Boursault devoted himself to the breeding of new varities. Attributed to him is "Rose Boursault", still in culture, dating from around 1818-1820. In fact, it was his daughter who obtained it from a seedling. This is a beautiful climber, with vivid pink, semi-double, numerous blooms, once-blooming. It was distributed by Vibert from 1820 onwards.
Book  (1954)  Page(s) 165-6.  
 
A rose deserving of special attention in the Pendulina classification is Rosa L'heritieranea Thory, the Boursault Rose, itself the forebear of a distinctive group within a group. The result of probably the first union of R. chinensis with a European rose, it was known for several years as R. Boursaultii, or popularly as the Boursault Rose. The exact date of origin is somewhat in doubt, but evidence points to the account that about 1810, Cugnot, a French nurseryman, produced a rose whose characters denoted that it was a hybrid of R. pendulina and R. chinensis. The original plant was sent to the garden of Henri Boursault. Here it was observed by Thory, who published the name R. L'heritierana, in Redouté’s Roses, but later in the same work referred to it as R. reclinata.
Book  (1936)  Page(s) 100.  
 
Boursault (alpina) Thory before 1836; vivid pink, medium size, semi-double, cluster-flowered, upright, climbing; = R. à boutons penchés.
Magazine  (Jun 1929)  Page(s) 75.  
 
Boursault (Boursault, issu d'après B. Jard, 1847), R. alpina x R. bengale, rose, semi-double.
Website/Catalog  (1923)  Page(s) 53.  
 
Rosa Reclinata de Boursault (Thory, 1773). Pretty semi-double carmine-red bedding rose.
Magazine  (5 Aug 1911)  Page(s) 374.  
 
The Parentage of Roses.
The following list of the world's Roses and their parentage has been compiled by Mr. Robert Daniel, 38 Russell Road. Fishponds, Bristol, and by his kind permission we are enabled to publish it...
Rosa Boursaultii... Hybrid Species, R. alpina X R. indica
Magazine  (Aug 1906)  Page(s) 299.  
 
Rosiers parasols sur très hautes tiges. .... Voici quelques variétés qui peuvent être cultivées sous des formes semblables: Crimson Rambler, tous les Rugosa, notamment : Blanc double de Coubert, Madame Georges Bruant, Mousseux Salet, Boursault, beaucoup de Noisette et de Thés sarmenteux, Sempervirens, Flore, Félicité Perpétue. W. Ewergreen, Vichuraïana Albéric Barbier, Ernest Grandpierre, etc
Magazine  (Mar 1904)  Page(s) 85(photo), 97-98.  Includes photo(s).
 
p. 85: Rosier de Boursault (Rosa reclinata Thory).
R. Boursaultiana Desp.— Variété à fleurs semi-doubles (Texte p. 97).

p. 97: SUR LE ROSIER BOURSAULT (Rosa reclinata Thory)
Boursault était un ancien conventionnel dont les jardins furent célèbres au temps passé. Sa collection de plantes était réputée pour une des plus belles de Paris. Il demeurait rue Blanche (Chaussée d'Antin), un des plus aristocratiques faubourgs de la capitale.
La Rose, qu’on lui a dédiée, est indiquée comme un hybride de la Rose des Alpes (Rosa Alpina L ) et de la Rose du Bengale.
Le catalogue de Roseraie de l’Hay, in dique qu’elle a été obtenue par Laffay, en 1829.
Tel qu'il est donné, le renseignement n'est pas complet et s'il est exact pour une variété, il ne l'est pas pour le type, qui est plus ancien. 
Voici pourquoi Thory (1) a fait connaître la Rose Boursault sous le nom de Rosa reclinata, plusieurs années avant 1829. Il a ecrit ce qui suit sur cette variété: 
« Les deux Rosiers qui nous occupent n’exigeront qu’une seule description, attendu qu’ils sont absolument les mêmes, avec la seule différence que l’un est à fleurs simples et l’autre à fleurs composées d’une vingtaine de pétales.
« Tous les deux sont susceptibles de s’élever à une très grande hauteur si on a le soin de les palisser contre un treillage. Les rameaux sont généralement sans aiguillons; cependant, il s’en rencontre parfois sur les branches inférieures. Les feuilles se composent de trois, cinq, et le plus souvent de sept folioles glabres sur les deux faces, d’un vert clair en dessus, un peu plus pâle en dessous, simplement dentées. Elles sont portées par un pétiole glabre, muni de petits aiguillons rougeâtres, ayant à sa base deux stipules décurrentcs, pointues au sommet, denticulées en leur bord, lavées d'une teinte rouge dans leur jeunesse, et de couleur verdàdre au moment de la chute des feuilles. Les fleurs sont disposées plusieurs ensemble à l’extrémité des rameaux qui croissent le long des branches principales. Les boutons, avant l’anthèse, se courbent vers la terre d’une manière remarquable; mais ils se redressent avant l’épanouissement. Les tubes des calices sont courts, presque globuleux et glabres, ainsi que les pédoncules et les divisions du limbe ; ces mêmes divisions sont presque simples, aussi longues que les pétales, et dilatées en spatules au sommet. Les pétales sont échancrés en cœur et d’un rose tendre. Le fruit est presque rond et rouge à la maturité. »
Le premier de ces Rosiers (celui à fleurs simples) est vraisemblablement un hydride issu d’un Rosier du Bengale et d’un Rosier des Alpes : il nous a été communiqué par M. Cugnot ; il est assez rare. Le second, qui se trouve communément dans les jardins, et qu’on connaît sous le nom de Rosier Boursault, est un produit de semence du premier. Tous deux se couvrent au printemps d’un grand nombre de fleurs qui persistent jusqu’à l’automne sur les pieds bien exposés. Ils n’exigent aucune culture.
Le catalogue des Roses cultivées en France, publié en 1829 par N. Desportes, signale plusieurs Rosiers Boursault qu'il nomme Rosa Boursaultiana : multiplex, plena et carnea. Ce dernier est à fleur simple. Le Dictionnaire des roses, de Max Singer, signale aussi un Rosier Boursault à fleurs doubles, Laffey (sic), d’un coloris différent du Boursault à fleurs pleines, qui est d’un rose vif. Il ne faut pas trop se fier à ce dictionnaire, si on veut connaître les noms des obtenteurs de roses anciennes. Il indique Thory, Laffay et Cartier. Thory n’a point obtenu de roses y il les a seulement décrites. Pour Cartier, peut-être est-il obtenteur, mais ce n’est pas très sur. Il ne dit rien de Cugnot, dont parle N. Desportes et Thory.
Le Rosier de Boursault ne semble pas avoir été l’objet de nouvelles tentatives d’hybridations ; peut-être pourrait-on en tirer autre chose. C’est à essayer. V.-M. [Viviand-Morel]

(1) Les Roses, par Redouté, texte par Thory, Paris, 1825,
Magazine  (15 Jul 1896)  Page(s) 210.  
 
Rosiers grimpants. — Les rosiers multiflores, polyantha, Ayrshire, Boursault et Turner’s Crimson Rambler sont les plus rustiques pour être conduits contre des piliers. Ces rosiers doivent être débarrassés de leurs rameaux mal formés ou non aoûtés. Il suffit de conserver une demi-douzaine de pousses sur chaque pied et de tailler celles-ci à des hauteurs variant d'après leur force. Le Gardeners Chronicle recommande d'enlever les sarments qui doivent être élagués, près du pied de la plante, afin que les nouvelles pousses surgissent toutes à cet endroit. Il est plus facile alors de les palisser.
© 2024 HelpMeFind.com